Le cas Zanfretta à Torreglia Italie (1978)

par damino - 3316 vues - 1 com.
Alien, ovni, ufologie

Tard dans la soirée du Mercredi 6 Décembre 1978 le vigile Fortunato Zanfretta était en service dans sa voiture dans la zone de Torreglia, un petit village dans les hauteurs de l'arrière pays Génois .
Il faisait très froid et la neige qui était tombée durant la journée c'était transformée en une dangereuse plaque glacé qui recouvrait une bonne partie de la chaussée.
Zanfretta qui roulait doucement, cherchait tant que possible d'éviter les coins éclaires qui pouvait révéler sa présence. Pour le reste, cet homme etait habitué au climat rude des montagnes et des zones qu'il avait appris à connaitre depuis ces deux dernières années.
Pourtant cette nuit-là ne fut pas comme les autres.
Il était 23 heures 30 quand Zanfretta prit la déviation, qui de la route 45 conduisait à Marzano, le vigile parcouru la petite route qui l'emmena au centre du village ; et en continuant, se dirigea vers la villa " casa nostra " appartenant à un dentiste Genois : Ettore Righi.



La nuit était sombre et sans lune mais le ciel étoilé rendait moins obscure l'aride paysage de l'appenin Ligure.

Après une centaine de mètres le vigile laissa derrière lui la dernière habitation et ce retrouva en pleine campagne. Il était presque arrivé quand, avant le dernier virage, le moteur et les phares de la Fiat 126 s'éteignirent ; " mais qu'est ce qui arrive" murmura t-il, surpris. C'est quand il mit pieds à terre qu'il vit dans le jardin de la villa quatre lumières qui bougeaient ; alors, oubliant la panne qu'il venait juste d'avoir et qui l'avait immobilisé. Il prit le micro de sa radio pour communiquer à la centrale opérative de "l'Institut de vigilance", ce qu'il était prêt à faire. "kangourou 68 , kangourou 68", appela t-il," je vais à l'intérieur de la villa voir si il y a des voleurs ".

Mais la centrale ne répondit pas. Même la radio était en panne.

Il empoigna son "Smith & Wisson calibre 38 special" et sa torche électrique éteinte dans sa main gauche il s'approcha avec précaution de la villa ; le portillon du jardin etait ouvert, ainsi que la porte d'entrée. Zanfretta entra et se plaqua contre le mur périphérique et doucement il s'avança de l'angle ; il voulait surprendre les voleurs, mais sa stupeur fut grande quand il se sentit toucher sur les épaules.

Rapidement il se tourna avec la torche allumée et son revolver prêt à faire feu s'il en était nécessaire ; cela n'aurai pas été la première fois, mais le faisceau électrique n'illumina pas un voleur... Interrogé le matin suivant par le brigadier des carabiniers Antonio Nucchi, commandant du poste de Torriglia ; Zanfretta, tremblant, raconta avoir vu un être énorme, haut d'environ 3 métres avec la peau ondulèe comme si cela était de la graisse ou bien alors une combinaison ; mais de toute façon de couleur grise...



Il avait des yeux triangulaires jaunes, sur sa tête apparaissait des veines rouges, et ses oreilles étaient de forme pointues, ses mains avaient des doigts dont les ongles étaient arrondies. Zanfretta térrorisé laissa tomber sa torche, il la ramassa et couru à toutes jambes vers sa voiture, et là il empoigna le micro.

"Le premier appel, dit Carlo Toccalino qui faisait son tour de garde à la centrale, je l'ai reçu vers minuit et quart, Zanfretta hurlait en disant continuellement "maman, maman qu'est ce qu'il est affreux", je lui est alors demandé si il était en train de se faire agresser,il me répondit : "non, ce ne sont pas des hommes, ce ne sont pas des hommes " et à ce moment la communication s'intérrompa."

Pendant que Zanfretta hurlait à la radio, tout d'un coup une grande lueur triangulaire s'éleva de derrière la maison ; il l'a décrivit plus tard comme étant un disque lumineux plus large que la villa ; la lumière l'aveugla à tel point qu'il dû se cacher les yeux avec ses bras, puis dans un grand sifflement et une accélération fantastique l'appareil se perdit dans le ciel.



Sur le terrain où l'"ovni" se serrait posé, les carabiniers ont découverts une grande trace semi circulaire qu'ils définirent comme une empreinte laissée par un hélicoptère ou bien par quelque chose d'important qui se serait posé dans le pré avoisinant la villa.



Zanfretta s'était évanoui. Quand ses collègues l'eurent trouvés après une heure de recherche, il était prés de la villa, en état de choc.

Pendant qu'ils l'emmenaient lui continuait à dire "je les ais vu, je les ais vu " et vraisemblablement il n'était pas le seul.



Les carabiniers, durant leurs enquête, trouvèrent 52 témoins qui confirmèrent qu'à cette heure-là et dans cette zone ils ont observés un gros objet volant de forme aplatis et triangulaire diffusant une intense lumière variant du blanc au rouge .



Vendredi 8 Décembre : le quotidien "il secolo XIV" est paru avec un titre et six colonnes " rencontre rapprochée à Torriglia " et c'est comme ça que le monde entier a pris connaissance du cas du vigile qui avait vu un ovni...

Rino Di Stefano, journaliste, en parle : "A cette époque j'étais chroniqueur au quotidien Génois du soir "Corriere Mercantile" et je me souviens du climat de curiosité et d'amusement septique que la nouvelle avait provoquée ; non seulement auprès du public mais aussi dans la rédaction des journaux, évidemment ce n'était pas facile de prendre au sérieux l'histoire de " l'extraterrestre haut de 3 mètres".

Toutefois si on aurait voulu archiver l'épisode, il aurait fallu trouver une explication logique à au moins trois questions : l'état de choc du vigile,l'énorme empreinte trouvée près de la villa, et les 52 témoins.

Il me semblai logique avant de traiter de fou cet homme ou de le définir comme mythomane ou bien pire, qu'il fallait démonter les résultats de l'enquête faite par les carabiniers. Pourquoi ne pas enquêter sur Pier Fortunato Zanfretta et sur les faits survenues cette nuit-là ?

Avec surprise je me suis aperçu que les autres collègues journalistes se gardaient bien de le faire, j'ai eu l'impression que la mentalité courante se résumait à ces phrases " du moment qu'il dit avoir vu une soucoupe volante et un monstrueux extraterrestre, il doit être vraiment fou ".

Pour ce qui était des carabiniers, certainement quelques uns devaient penser qu'ils perdaient leurs temps ; c'est sûrement cette dernière conviction qui m'a donné envie de m'occuper du cas Zanfretta.



Aussi parce que tout le monde comptait sur l'aspect ufologique de la question, laissant de côté le drame humain que vivait cet homme. Je me demandai :" est ce possible qu'un vigile connu comme étant une personne honnête et correcte, père de deux enfants, s'invente de toutes pièces une histoire de ce genre, risquant de perdre son emploi. Et les témoignages de ces 52 personnes qui validaient son récit, est-ce que son état de choc était une simulation ?" ; je voulais en savoir plus.

Les responsables de l'Institut de vigilance "Val Bisagno" se disent prêt à collaborer avec moi. Le directeur Gianfranco Tutti me raconta que son associé Luigi Cerda avait déjà prévu de porter plainte contre X pour l'histoire qui venait de ce passer, "nous voulons que toute la lumière soit faite sur cette histoire" ; ils avaient peur de la publicité négative que cette affaire pouvait leur apporter.

La première chose que je leur demanda c'était de parler avec Zanfretta ; et cela ce fit. Le vigile, aux premiers abords, me paru timide et embarrassé.

Je m'apperçu que toute la rumeur faite autour de lui le gênait énormément : " des personnes inconnues téléphonent à la maison pour se moquer de moi ", se plaignit-il, " je ne sais pas ce que c'était ce que j'ai vu mais je l'ai bien vu, je ne suis pas un menteur ".

Photos des lieux



La séance d'hypnose

Après avoir publié mon premier article sur Zanfretta je fus contacté par divers ufologues ; j'ai coupé court avec eux mais j'ai accepté une suggestion : demander à Zanfretta de se soumettre à une hypnose.

L'hypnose, c'est vrai, est une méthode utilisait pour faire revivre des expériences passées en dissociant le côté conscient de l'individu, pourquoi ne pas essayer ?



Zanfretta consenti de suite ; et le soir du 23 Décembre il se trouva allongé, hypnotisé sur le petit lit du docteur Mauro Moretti.

Le résultat de cette séance, enregistrée sur bande audio fût déconcertante.

 

Source : http://ovni-enlevements.forumchti.com/t564-le-cas-zanfretta-a-torreglia-italie-1978

Commentaires

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jo06730
Ce cas la est trop gros , le type avait certainement un problème avec son patron , heures supplémentaires pas payées , travail de nuit non rémunéré etc etc ....
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