Les ovni de la conspiration nazie
La série des Vril est la plus connue des réalisations de Victor Schauberger. Les premiers prototypes sont les toutes premières utilisations militaires d'O.V.N.I.S. Du Vril 1 jusqu’au Vril 4, il s’agit d’engins guère puissants mais tout change avec la réalisation du Vril 5 : véritable concurrent de la Haunebu 1 pour laquelle Shauberger prêtera bien généreusement le moteur. Les prototypes Vril 6, 7, 8 et 9 ne seront pas réalisés à cause de l’Armistice. Certains engins n'auront même pas le temps d'être étudié. Le blindage double et triple « victalen » est un alliage spécial, le fameux « Impervium », matériau qui offre une grande conductivité et une immense résistance aux frottements. Quant à l'autonomie des vaisseaux, elle était théoriquement illimitée, sous réserve de remplacer régulièrement certaines pièces suite à l'usure des matériaux due aux frottements.
VRIL I (1934)
Le Vril 1, premier de la série des " Vril ",  construit du début de 1934 jusqu'en 1942, est resté à l'état de  prototype, mais il volait ! Il était équipé d'un cockpit en plexiglas  sur sa partie supérieure. C'est l'équipe de Schauberger qui sera chargée  de sa conception. Cet engin devait être embarqué sur le projet  Andromède avec 2 autres Vril 1 et une Haunebu I ou II.
*Leich bewapphete flugscheibe (jager) Vril 1
*Diamètre : 11.50m
*Moteur : Schuman-levitators
*Commande : Mag-yeld-impulser 3a
*Vitesse : 2.900 km/h (théoriquement jusqu'a 12.000km/h)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108
*Blindage : Double Victalen
*Equipage : 1 hommes
*Durée de vol stable : 12 minute, jour et nuit par tous temps
*Premier vol : 1939
*Mise en service : 1944 construite en 18 exemplaire
VRIL 2 (1936)
Le Vril 2 n'est qu'une version plus puissante du  Vril 1. Le cockpit en plexiglas du Vril 1 fut remplacé par un habitacle  pressurisé métallique et surmonté d'un bulbe en plexiglas. Deux  exemplaires devaient être embarqués sur le projet Andromède, avec deux  autres exemplaires de Vril 1.
*Leich bewapphete flugscheibe Vril 2
*Diamètre : 10.50m
*Moteur : Schuman-levitators
*Commande : Mag-yeld-impulser 3b
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108
*Blindage : Double Victalen
*Equipage : 2 hommes
*Durée de vol stable : 12 minute, jour et nuit par tous temps
*Premier vol : 1942
*Mise en service : 1944
VRIL 3 (1938)
Le Vril 3 n'est qu'une version plus puissante du Vril 2, et équipée d'un canon.
*Leich bewapphete flugscheibe Vril 3
*Diamètre : 10.50m (suposé)
*Moteur : Schuman-levitators (suposé)
*Commande : Mag-yeld-impulser 3b (suposé)
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h) (suposé)
*Armement  : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108 ;  canon 1 x 75mm sur tourelle tournante situer sur le cockpit
*Blindage : Double Victalen (suposé)
*Equipage : 2 hommes (suposé)
*Durée de vol stable : 12 minute, jour et nuit par tous temps (suposé)
*Premier vol : 1943
*Mise en service : 1944
VRIL 4 (1940)
Le Vril 4 comprend un tube au-dessus du cockpit dont  on ignore complètement son utilité. Sinon, c’est une variante des Vril 2  et 3. C'est toujours l'équipe de Shauberger qui est chargée de sa  conception.
*Leich bewapphete flugscheibe Vril 4
*Diamètre : 10.50m (suposé)
*Moteur : Schuman-levitators (suposé)
*Commande : Mag-yeld-impulser 3b (suposé)
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h) (suposé)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108 (suposé)
*Blindage : Double Victalen (suposé)
*Equipage : 2 hommes (suposé)
*Durée de vol stable : 12 minute, jour et nuit par tous temps (suposé)
*Premier vol : 1943
*Mise en service : 1944
VRIL 5 (1942)
Le Vril 5 est probablement le prototype le plus  abouti de l'équipe de Shauberger. Dès ces premiers vols en 1944, il  atteint la vitesse de 12.000km/h et il semble même que l’engin ait  quitté l'atmosphère à plusieurs reprises, se permettant quelques virées  en orbite.
Au début des années 40, il était possible de faire des photographies en couleur. Voici donc la première soucoupe du Reich en couleur, le Vril 5.
*Leich bewapphete flugscheibe Vril 5
*Diamètre : Inconue
*Moteur : Thule Tachyonator (Triebwerk) 7b
*Commande : Mag-yeld-impulser 3c (suposé)
*Vitesse : 12.000km/h (théoriquement jusqu'a 48.000km/h) (suposé)
*Armement  : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108 ;  canon 1 x 75 mm sur tourelle situé sur le cockpit(suposé)
*Blindage : Victalen triple (suposé)
*Equipage : 3 hommes (suposé)
*Durée de vol stable : Inconue
*Premier vol : 1944
*Mise en service : 1945
VRIL 6 (1944)
*Le Vril 6 ne sera jamais construit.
*Leich bewapphete flugscheibe Vril 6
*Mise en service : 1945
VRIL 7 (1944)
Le Vril 7 restera a l'état de plans. Il s'agissait d'un projet de vaisseaux géant de 120m de diamètre.
*Leich bewapphete flugscheibe Vril 7
*Diamètre : 120m
*Mise en service : 1946
VRIL 8 (1945)
La Vril 8 "odin" ne sera jamais construite à cause de la fin de la guerre.
*Leich bewapphete flugscheibe "odin" Vril 8
*Prévu pour 1946, il semble que son étude n’a pas été réalisée suite à l’Armistice.
VRIL 9 (1945)
Le Vril 9 ne sera jamais construit suite à l’Armistice.
*Leich bewapphete flugscheibe Vril 9
*Prévu pour 1947, on retrouvera néanmoins 1 plan de la Vril 9 .
Il faut aussi prendre compte que les Vrils, avant d'être des  soucoupes, étaient des disques lumineux que les Aryens (la race Pure)  utilisaient pour se déplacer.
Selon diverses sources, RFZ voudrait  dire "Rund Flugzeuge", signifiant "l'avion rond", ou "Reichsflugzeuge",  "l'avion du Reich". Il s’agit de la série la plus mystérieuse des  O.V.N.I.S du Reich car pour certains prototypes, il n'existe ni photo ni  plan. Cela vient probablement du fait que la plupart des documents  concernant ces engins ont été détruits ou demeurent encore classifiés.  Sept séries de RFZ ont existé dont la cinquième qui prit le nom de  Haunebu 1 et la septième qui n'est pas exposée ici étant donné son mode  de propulsion particulier
Selon diverses sources, RFZ voudrait dire  "Rund Flugzeuge", signifiant "l'avion rond", ou "Reichsflugzeuge",  "l'avion du Reich". Il s’agit de la série la plus mystérieuse des  O.V.N.I.S du Reich car pour certains prototypes, il n'existe ni photo ni  plan. Cela vient probablement du fait que la plupart des documents  concernant ces engins ont été détruits ou demeurent encore classifiés.  Sept séries de RFZ ont existé dont la cinquième qui prit le nom de  Haunebu 1 et la septième qui n'est pas exposée ici étant donné son mode  de propulsion particulier.
RFZ 1 (1934)
Le premier ovni allemand  vit le jour en juin 1934. C'est sous la direction de Dr Walter O.  Schumann que naquit le premier avion circulaire expérimental sur le  terrain de la fabrique d'avions Arado à Brandebourg : il s'agissait du  RFZ 1. Lors de son premier vol qui fut aussi le dernier, il s'éleva à la  verticale à une hauteur d'environ 60 m et se mit alors à tournoyer et à  danser dans l’air pendant plusieurs minutes. L'empennage Arado 196 qui  devait guider l'appareil s'avéra complètement inefficace. C'est avec  grande peine que le pilote Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s'en  échapper et à s'en éloigner en courant car l'appareil se mit à tourner  comme une toupie avant de capoter et d'être complètement mis en  piècesC'était la fin du RFZ 1 mais le début des engins volants VRIL.
RFZ 2 (1934)
Le  RFZ 2 fut terminé avant la fin de l'année 1934, il avait une propulsion  Vril et un pilotage à impulsions magnétiques. Les contours de  l'appareil s'estompaient quand il prenait de la vitesse, et l’engin  s'illuminait de différentes couleurs, ce qui est bien une des  caractéristiques des ovnis. Selon la force de propulsion, il devenait  rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet. Il put donc  fonctionner et l'année 1941 lui réserva un destin remarquable. Il fut  utilisé comme avion de reconnaissance à grande distance pendant la  bataille d'Angleterre. On le photographia fin 1941 au-dessus du sud de  l'Atlantique alors qu'il se dirigeait vers le croiseur auxiliaire  Atlantis se trouvant dans les eaux de l'Antarctique. Il ne pouvait pas  être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de  son pilotage à impulsions, le RFZ 2 ne pouvait effectuer des changements  de direction que de 90°, 45° ou 22,5°. C'est incroyable, vont penser  certains d'entre vous mais ce sont précisément ces changements de vol en  angle droit qui caractérisent les ovnis.
*Reichsflugzeuge 2 ou Rund Flugzeuge 2
*Diamètre : 5m
*Moteur : Schuman-levitators
*Commande : Mag-yeld-impulser 3a
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h)(suposé)
*Armement : Mitrailleuse 2 x MK-108
*Blindage : Inconue
*Equipage : 1 hommes
*Durée de vol stable : 12 minute, jour et nuit par tous temps (suposé)
*Premier vol : 1934
*Mise en service : 1941
RFZ 3 (1934)
Il n'existe que deux photos de cet engin.
RFZ 4 (1935)
Encore plus mystérieux que le RFZ 3, tout ce que l'on sait à son sujet est qu’il a été le précurseur de la Haunebu 1.
RFZ 5 (1939)
Le RFZ 5 est une amélioration du RFZ 4 et devint par la suite la Haunebu I (Voir prototypes Haunebu)
RFZ 6 (1943)
Il s'agissait d'une sorte d'hélicoptère supersonique.  En 1941, Miethe et Shriever commencent la construction du premier V-7  qui effectue ses premiers vols stationnaires près de Prague en décembre  1942 sous le nom de V-7 FlugKreisel. D'une hauteur de 3m20 et d'un  diamètre de 14m40, l'appareil est propulsé par cinq réacteurs à tornade  de Shauberger, deux d'entre eux assurent la translation horizontale et  les trois autres entraînent un rotor à pas variable permettant le  décollage vertical et la sustentation.
*Reichsflugzeuge 6 ou Rund Flugzeuge 6 plus connue sous le V-7 ou FlugKreisel
*Diamètre : 14.40m
*Moteur : Inconue
*Commande : Inconue
*Vitesse : Il n'a jamais dépasser les 100km/h
*Armement : Inconue
*Blindage : Inconue
*Equipage : 1 hommes
*Durée de vol stable : Inconue, on peut juste dire quelle est très courte (entre 5 à 10min)
*Premier vol : 1943
*Mise en service : 1944
RFZ 7 (1945)
Le RFZ 7 est une soucoupe à effet coanda (voir Les  autres soucoupes de la guerre) Il utilise un mode de propulsion  différent des autres RFZ. Il devait s'agir d'une sorte d'O.V.N.I pour le  transport de troupes.
Des Ovnis Allemands Haunebus, des engins de transport et très armés, particulièrement très grands.
Parmi  les O.V.N.I.S. du Reich, la série des Haunebu est la plus connue dans  le monde. Cette série sera réalisée par le professeur Walter O.  Schumann, en compétition amicale avec Victor Schauberger qui s’occupait,  lui, de la série des Vril. D’ailleurs, il prêta les moteurs de sa Vril 5  pour équiper la Haunebu I. L’autonomie des Haunebu était supérieure à  celle des Vril. En effet, si l'on compare les Vril à des chasseurs, les  Haunebu seraient des bombardiers. La Haunebu II est la plus célèbre des  soucoupes nazies car elle fut souvent photographiée dans le monde entier  dans les années 50, notamment par George Adamski. Les Américains en  auraient même récupéré un exemplaire complet. Quant à la Haunebu III,  des doutes subsistent sur sa réalisation, un seul exemplaire aurait été  construit mais il n'a jamais été retrouvé. La Haunebu IV restera à  l'état de plan et la plus méconnue de la série.
HAUNEBU I (1939)
La  Haunebu I est en réalité la 5ème version de la série mystérieuse des  RFZ. Bien que l'on en possède des photographies et des plans, elle reste  quand même la soucoupe la plus méconnue de la série après la Haunebu  IV. Equipée des moteurs que Schauberger a bien voulu prêter à Schuman,  elle se montre instable en vol et ne peut voler parfaitement que pendant  8 minutes. Remarquer la mitrailleuse en tourelle. Elle rendait la  soucoupe instable. Par la suite, les Nazis projetaient d'utiliser une  espèce de laser appelé "Le rayon de la mort" à la place de la  mitrailleuse !
*Compas gyroscopique modérement armée en vol 1
*Diamètre : 24.95m
*Moteur : Thule Tachyonator (Triebwerk) 7b
*Commande : Champs Impulser 4
*Vitesse : 4.800km/h (théoriquement jusqu'a 17.000km/h)
*Armement : Canons 2 x 80 mm KSK sur tourelle tournante ; canons 4 x MK-108
*Blindage : Double Victalen
*Equipage : 8 hommes
*Durée de vol stable : 8 minutes, jour et nuit par tout temps
*Premier vol : 1939
*Mise en service : 1944
HAUNEBU II (1940)
La Haunebu II est l'engin le plus célèbre de  cette série car elle a été souvent photographiée après la guerre,  notamment par George Adamski. Lors de ces apparitions, certaines  personnes ont estimé à tord qu’elle ne faisait que 10m de diamètre. Mais  surtout, c'est le seul engin que les Américains auraient récupéré  entier. C'est également la version la plus construite de la série des  Haunebu et certaines sources affirmeraient qu’elle a servit de modèle à  toutes les soucoupes américaines construites après guerre.
*Compas gyroscopique fortement armée en vol 2
*Diamètre : 26.30m
*Moteur : Thule Tachyonator (Triebwerk) 7c
*Commande : Champs Impulser 4a
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 21.000km/h)
*Armement : canons 6 x 80mm KSK sur tourelle 3 tournantes ; canon 1 x 110mm KSK tourelle tournantes
*Blindage : Victalen triple
*Equipage : 9 hommes (peu embarquer 20 personne pour le transport)
*Durée de vol stable : 8 minutes, jour et nuit par tout temps
Durée de vol total : 55 heures
*Premier vol : 1942
Mise en service : 1944, 7 exemplaires seront construits
HAUNEBU III (1944)
La Haunebu III était une version gigantesque de  la série des Haunebu. Elle utilisait comme les autres une propulsion  antigravitationnelle. Ses dimensions étaient absolument titanesques avec  71m de diamètre ! Son armement était également impressionnant,  combinant de simples mitrailleuses et des canons électromagnétiques !  Son autonomie était également impressionnante, avant que les matériaux  ne soient complètement usés, le pilote pouvait compter sur 7 à 8  semaines de vol ! Bien que le projet fut largement étudié, personne ne  sait s'il fut réalisé.
*Compas gyroscopique fortement armée en vol 3
*Diamètre : 71m
*Moteur : Thule Tachyonator (Triebwerk) 7c plus SM-Levitators
*Commande : Champs Impulser 4a
*Vitesse : 7.000km/h (théoriquement jusqu'a 40.000km/h)
*Armement  : Canons 4 x 110mm KSK sur 4 tourelle tournante ; canons 10 x 80mm KSK  sur tourelle tournante ; mitrailleuses 6 x MK-108 ; canons 8 x 50mm KSK
*Blindage : Victalen triple
*Equipage : 32 hommes (peu embarquer 70 personne pour le transport)
*Durée de vol stable : 25 minutes, jour etn uit par tout temps
Durée de vol total : 7 à 8 semaines
*Premier vol : 1945
*Mise en service : 1945 mais on est pas tout a fait sur qulle fut terminé
HAUNEBU IV ( 1945)
Beaucoup plus grande que la Haunebu III, elle  était censée être réservée pour le transport de troupes et de matériels.  Il ne subsiste de ce projet qu'une seule et unique ébauche.
*Compas gyroscopique fortement armé en vol 4
*Diamètre : 120m
*Projeté pour 1946 mais interrompu à cause la fin de la guerre.
Des dizaines de plans ont été récupérés avec l'opérations Paper clip, mais l'on ne parle pas de tout
On  vient de fêter les 60 ans de la fin de la seconde guerre mondiale. Tout  paraît avoir été écrit sur cette période tragique de l'histoire. Des  milliers d'ouvrages, d'articles, de films, de documentaires, de  commentaires… Tout a été dit... C'est ce que beaucoup pensent. Il  s'avère qu'un aspect méconnu de la guerre n'a quasiment jamais été  présenté au grand public. Les nazis avaient construit, sur la fin du  conflit, toute une série d'armes secrètes volantes. On pense aux fameux  V-1 et V-2, et aussi à plusieurs avions expérimentaux tels que les  projets Sack AS6, Horten Ho-229, Heinkel P 1078 B, Bachem Natter 349 A  ou à l'énigmatique BMW Flügelrad V2. Ces engins non conventionnels,  propulsés par hélice(s) ou réacteur(s), étaient soit circulaires, soit  en forme delta. Ils possédaient une silhouette insolite largement en  avance sur l'époque. Les nazis auraient également conçu les Vril et  Haunebu, véritables soucoupes volantes à décollage vertical. Durant des  décennies, ces projets ont été ignorés du grand public. Entre mythe et  réalité, nous levons ici le voile après une longue enquête
Le dossier  des O.V.N.I.S pose de nombreuses interrogations. Les spécialistes  s’opposent régulièrement sur la pertinence des dossiers et sur leur  authenticité. Mais que l'on parle de soucoupes volantes, d'O.V.N.I.S, de  mystérieux objets célestes ou d'autres phénomènes aériens non  identifiés, un faisceau de présomptions se dégage. Le dossier O.V.N.I  est un fait que l'on ne peut plus nier. Sa nature est sociologique et/ou  physique, suivant le coté où l'on se place ; pour ou contre.  Aujourd'hui, il est difficile de rejeter les témoignages et les  documents, les pièces du puzzle sont trop nombreuses. Pourtant, il y a  un volet du sujet que tout le monde ignore ou ne souhaite pas aborder :  celui des prototypes secrets nazis. Il faut bien reconnaître que le  sujet est délicat. Beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte et  prêtent à confusion. D'un côté, il y a les ufologues qui pensent à une  opération de désinformation visant à écarter l’hypothèse extraterrestre.  Se sentant directement attaqués, certains se hérissent au point  d'atteindre l'aveuglement et l'intransigeance. De l'autre côté, vous  avez les politiques, totalement incultes en matière d'O.V.N.I.S, et qui  envisagent forcément la question des soucoupes volantes nazies comme une  opération de propagande néo-nazie. Suspecter par les uns et les autres,  comment garder la tête froide et chercher la vérité sereinement ?  Pourtant les questions sont pertinentes : les Allemands, à la fin de la  seconde guerre mondiale, auraient-ils testé des appareils volants  circulaires, autrement dit des soucoupes volantes ? Ces appareils, dès  1944, auraient-ils pu être observés et constituer les premiers  témoignages de l'ufologie ?
Une soucoupe photographiée par un témoin dans les années 50. La similitude avec la Haunebu I est surprenante !
 
Des O.V.N.I.S Allemands dans les années 50
Tout commence dans les années 50. La seconde guerre mondiale est  terminée, le Reich a été vaincu, les alliés se sont partagés l'Europe et  les nations se reconstruisent. Des informations commencent à circuler  dans les milieux autorisés. Les fameuses soucoupes volantes observées  dès 1947 ne viendraient pas d'ailleurs, mais seraient des essais  délocalisés d'engins secrets, récupérés par les Américains auprès des  nazis. Ce qui est d'autant plus troublant, c'est que des témoins de  l'époque prétendent avoir observé des engins discoïdaux, posés au sol,  et avoir conversé avec des personnages humanoïdes grands et blonds, dont  certains parleraient Allemand ou avec un fort accent Allemand. Ils  seraient vêtus d’une sorte d'uniforme (le mythe des Aryens resurgit  ?)... ! La célèbre aventure de George Adamski ( dont un article sur  notre site en parle ) contient d'ailleurs des éléments nous rapprochant  de l'Allemagne vaincue. Des indices surgissent lors de son supposé  contact avec un "Vénusien", épisode survenu en Californie en 1952. Lors  de la première partie de son histoire ; le 20 novembre à « Desert Center  », six personnes assistent à la scène : George Adamski est à quelques  mètres d'une sorte de vaisseau posé au sol, à coté duquel se tient un  être blond. Après l'observation, George Adamski et ses amis constatent  des traces sur le sol. Ces traces ont été faites par les chaussures du  "Vénusien". Sur les marques relevées, on voit, sur l'empreinte du pas  droit une croix gammée en deux exemplaires : l'une sur le talon, l'autre  sur la plante des pieds ! Ce n'est pas tout. Le 13 décembre, l'astronef  "Vénusien" revient et survole la vallée proche de l'endroit où habite  Adamski. Ce dernier prend plusieurs clichés surprenants de l'engin  volant mystérieux. Un objet est lancé depuis l'astronef, c'est une  plaque photographique qu’Adamski donne à développer. Dessus figurent  plusieurs signes étranges, dont une croix gammée et, il est vrai,  d'autres symboles non traduits à ce jour !
A gauche, dessin réalisé  d'après le témoignage d’Adamski. Noter de quelle manière le "visiteur"  le salut ! ; A gauche, une photo faite par Adamski. Regarder plus bas et  comparer la similitude avec la Haunebu II
 
Trois précisions sur Adamsky ...
Nous  savons aujourd'hui que les clichés de soucoupes volantes pris par  George Adamski sont sans doute des faux ; en tout cas les preuves de  leur authenticité manquent. Le document lancé depuis le vaisseau  "Vénusien" reste étrange. Le symbole de la croix gammée n'a pas été  inventé par les nazis mais l’Hitlérisme a impressionné les mémoires  collectives avec ce symbole funeste. L'histoire d'Adamski comporte bien  plus de signes faisant le lien entre les dossiers ufologiques des années  50 et l'Allemagne nazie. Nous n'en tirons aucune conclusion mais  estimons que certaines coïncidences ici sont troublantes. Hasard, «  synchronicité » ou présence intentionnelle, observer bien la soucoupe  volante dite d'Adamski dont on trouvera la trace à travers plusieurs  témoignages un peu partout dans le monde...
Regarder bien le design,  avec cette "jupe", ce dôme, il y a curieusement quelque chose de  totalement "germanique" dans l'ergonomie de cet engin ! Si les nazis  avaient dû construire un O.V.N.I, il aurait forcément ressemblé à cette  image, un engin massif, entre le casque, le sous-marin et le tank  allemand. L'architecture et le design reflètent complètement la  philosophie d'un peuple. Les Américains, les Soviétiques, les nazis  avaient chacun leur style bien personnel qui en disait long sur les  mentalités et les régimes politiques en place. C'est ce genre de détail  qui sème le trouble. S'il s'agissait d'un simple montage, d'une vaste  opération de désinformation, les services secrets auraient-ils été  capables d'intégrer, d'imiter, de contrefaire et finalement d'inventer  des modèles d'engins "dans l'esprit et la philosophie nazis au point de  conférer à ces derniers une fracture parfaitement germanique ?
 
L'apparition des V-7
Dans  le milieu ufologique Français, on a commencé à parler des V-7 (RFZ 6)  dès 1956. C'était 10 ans après la fin de la seconde guerre mondiale et  on peut penser que quelques informations avaient filtré. C'est Charles  Garreau, journaliste et ufologue, qui fut l'un des premiers à traiter du  sujet. Il ne cita pas ses sources directes, mais le professionnalisme  du personnage que nous avons connu laisse à penser qu'il avait recoupé  ses informations avant leur parution. Pour Charles Garreau, c'est le 17  mai 1944 qu'aurait eu lieu le premier vol d'une arme secrète allemande,  le V-7 (ou RFZ 6). Les nazis travaillaient sur ces engins spéciaux  depuis 1943 dans des laboratoires d'essais de Stettin, Dortmund, Essen  et Peenemünde
Carte de l'Allemagne en 1938 vous permettant de situer  Stettin, Dortmund, Essen et Peenemünde. C'est à Peenemünde et Stettin  que furent étudiés les prototypes d'O.V.N.I.S du Reich
 
Le  premier appareil était une sorte d'hélicoptère discoïdal : le  Vergeltungwaffe Sieben ou arme de représailles 7. Les informations sont  précises sur cette première version du V-7 : hélicoptère supersonique,  équipé de douze turboréacteurs BMW, altitude atteinte de 20.000 mètres,  5.500 chevaux développés, poids 2.900kg. L'engin est présenté comme  ayant la forme d'un disque aplati de 21m de diamètre. Quelques photos  ont circulé à l'époque, montrant seulement le prototype à l'échelle  d'une maquette au 1/10ème. La fin brutale de la guerre aurait causé  l'abandon de ce projet. Très rapidement, un autre personnage entre en  scène. Il s'agit de Richard Miethe, un ingénieur allemand qui aurait  travaillé sur le V-7. Pour lui la chose était simple : Les Russes se  sont emparés de ses plans et ont réussi à développer le projet derrière  le rideau de fer. C'est l'époque où Miethe est contacté par les  États-Unis pour venir y travailler. Quelques années plus tard, le projet  Américano-Canadien Avro voit le jour. C'est un fiasco. La soucoupe  volante construite en Amérique ne dépassera jamais le stade des essais.  Mais ce projet à destination du grand public n'est-il pas un échec  voulu... ? Malgré que cela n'est jamais marché puisque que la machine ne  dépassera jamais 2 mètres de hauteur avec une instabilité total.
 
Un document russe déclassé et rendu public en 2005, montre la  photo d'une soucoupe volante russe expérimentale, construite durant la  guerre froide. L'objet est photographié depuis un poste d'observation en  hauteur et montre une vue complète de l'objet circulaire, posé au sol.  Ceci apporte du crédit aux déclarations de Miethe ! Autour de Richard  Miethe, d'autres noms vont circuler, ingénieurs et chercheurs allemands  comme Georg Klein, Andreas Epp ou Shiever qui dirigeait le bureau de  recherche à Berlin pendant la guerre. Ces personnages feront quelques  déclarations à la presse sur l'existence du V-7 (ou RFZ 6). La  controverse éclatera dans les années 50, chacun y allant de sa critique :  "tout est faux, ces spécialistes affabulent et inventent des histoires  pour les journalistes naïfs..." clameront les détracteurs. Si la preuve  du vrai n'a jamais été apportée à ce moment-là, la preuve du faux ne l'a  pas plus été. Le débat reste donc ouvert.En bas , V-7 (ou RFZ 6) en vol  ; En haut, un des nombreux plans de la RFZ 6. Attention à ne pas  confondre la V-7 qui est la RFZ 6 avec la V7, la Vril n°7 !
 
La presse révèle le sujet dès 1944
En  faisant une recherche approfondie, on constate que dès les années 40,  la presse commence à faire allusion à des essais secrets allemands de  prototypes volants non conventionnels. « L'associated press et Reuter »  diffuse les 13 et 14 décembre 1944 un communiqué, repris par plusieurs  titres dont le « New York Times » : "... la nouvelle arme aérienne  nazie... nouveau dispositif mystérieux de guerre... des objets argentés  volants en forme de boule... " Dans les années qui suivent, d'autres  journaux internationaux titrent : "... les nazis possèdent l'avion  atomique capable d'atteindre 10.000km/h... des recherches nazies lancées  dès 1943 ont permis à Hitler de construire des prototypes secrets  volants...". Des journaux publiés en Europe de l'Est diffusent même des  schémas et des plans d'engins volants discoïdaux : "... la soucoupe de  guerre de Hitler est la A7 (V-7)...".
 
Un peu plus tard paraît un  autre article avec le titre : "... l'O.V.N.I nazi..." sous lequel un  dessin montre une soucoupe passant près du sol, avec une traînée de  condensation dans son sillage. Le relais est pris rapidement en 1950 par  « Il Giornale d'Italia » : "... les disques volants ont été conçus dès  1942 en Italie et en Allemagne...". En 1952, le journal « Tempo » évoque  les V-7 "... Entre la vérité et le roman, la Russie possède la clef  d'un prodigieux secret allemand : le V-7...". Plusieurs clichés, censés  avoir été pris en 1942, montrent une soucoupe volante en évolution près  du sol. La presse allemande elle-même, dès 1950 dans « Der Spiegel »,  publie les schémas en coupe d'une soucoupe volante "Projekt -  Flugkreisel Schriever". L'objet mesure 14m40 de diamètre sur 3m20 de  haut et se déplace par des moteurs à réaction, associés à un système de  lames rotatives ! En 1952 le magazine « ZB Illustrierte » ouvre sa une  avec le titre flash "... Une évidence..." Un unique dessin illustre la  couverture de la revue : un groupe d'hommes dans la campagne visiblement  vêtus d'uniformes, regarde en l'air et voit à basse altitude un disque  volant en mouvement. Une traînée de fumée laissée derrière le disque  indique le sens de déplacement et plusieurs manœuvres serrées. En 1953,  c'est Weltam Sonntag qui publie des révélations, photos à l'appui, d'une  soucoupe volante testée à Prague en 1945 ! Toujours en 1953, le «  Deutschen Illustrieten » titre "... la soucoupe volante observée en  Allemagne...". En 1957, le journal « Die Rheinpfalz » affirme que "les  Martiens parlent Allemand". On pourrait croire que ce type de une a été  abandonné par une presse assagie (ou muselée c'est selon) qui ne perd  plus de temps avec ces informations sensationnalismes. Cet abandon  serait d'autant plus logique que ce concept d'O.V.N.I.S nazis est peu  rentable car trop abstrait pour la majorité des lecteurs de la presse  magazine, habituée à des accroches visant le plus souvent en dessous de  la ceinture. Il n'empêche que deux titres phares de la presse allemande,  « Stern » et « Blid », dans leurs éditions de décembre 2004, au moment  de la sortie du film « La chute » qui raconte les derniers jours d'Adolf  Hitler dans son bunker de Berlin au moment de l'arrivée des troupes  russes - ont ouvert leurs unes avec : "... les Historiens dévoilent les  projets d'Hitler sur un engin volant discoïdal..." , "... Hitler a  projeté la construction de soucoupes volantes..." ! Le ton est donné, le  tempo est maintenu. Depuis 60 ans, régulièrement, la presse se fait  l'écho des projets secrets que le Reich aurait initié : la construction  d'une soucoupe volante.
 
Des documents Top Secret
Existe t-il  des pièces officielles attestant que les Allemands ont travaillé sur des  disques volants ? OUI ! Selon des sources publiées par le site « web  Photovni ». Un document daté du 7 août 1947, émanant des services de  renseignement américains en Allemagne, révèle l'existence d'une lettre  signée par H.A. Ahuis. Ce dernier écrit à l'ambassade des USA en  Allemagne et soulève la question des disques volants. Il explique qu'il  s'est lui-même penché sur le sujet et qu’il a réalisé diverses  expérimentations depuis 1936. Il est prêt à poursuivre des recherches au  États-Unis ! En 1953 un ingénieur allemand affirme que les Soviétiques  ont une soucoupe allemande ainsi que des plans. Le document est de la  CIA et mentionne un rapport venant d'Athènes : "(...). les soucoupes  volantes sont connues actuellement depuis que la possibilité de leur  construction a été prouvée grâce aux plans élaborés par des ingénieurs  allemands vers la fin de la seconde guerre mondiale (...)".
 
Georges  Klein, un ingénieur allemand a déclaré (il apparaît photographié dans  un article d'avril 1953 sur les soucoupes allemandes, dans le « Welt  amSonntag ») (...) que les soucoupes volantes sont un développement  d'après guerre, alors qu'elles furent en fait dans les prévisions des  programmes de planification des engins aériens dans les usines  allemandes dès 1941." Plus loin dans le document, Klein affirme être à  Prague en février 1945 et assiste au premier vol expérimental d'une  soucoupe volante ! Des détails sont même donnés sur les performances de  l'engin : il s'élève à 12.400m d'altitude en moins de 3 mn à une vitesse  de 2.200km/h. L'ingénieur indique même que ces appareils peuvent voler  jusqu'à 4.400km/h. Ce document de la CIA met encore en lumière que trois  prototypes avaient été mis en service fin 1944. Les formes étaient  variables. L'un des appareils était discoïdal pour un diamètre de 42m.  Un autre appareil avait la forme d'un anneau, avec le poste de pilotage  central et sphérique. Le document précise plus loin : "Durant les  derniers jours de la guerre (...) les ingénieurs stationnés à Prague  exécutèrent les ordres de destruction complète de tous leurs plans  concernant les prototypes, avant que les forces soviétiques n'arrivent.  Les ingénieurs stationnés aux usines de Miethe à Breslau, ne furent pas  avertis à temps de l'approche des troupes soviétiques qui réussirent  donc à saisir leur matériel..." D'autres documents existent, notamment  un rapport US émanant du FBI, daté du 8 juin 1967. Un informateur a  signalé avoir photographié un des engins mystérieux en novembre 1944. Ce  personnage est un ancien de la Luftwaffe, engagé sur le front russe.  Fin 1944, il est démobilisé et affecté en tant que pilote d'essai. Il  expérimente un projet secret en Forêt Noire.
Ci-dessus, le rapport en question du FBI
 
Voici ce que dit le  rapport : "(...) il examina l'appareil (...) il avait la forme d'une  soucoupe volante d'environ vingt et un pieds de diamètre, commandé par  radio (...) plusieurs moteurs à réaction étaient fixés autour de la  partie extérieure du vaisseau (...) Sa responsabilité fut de  photographier l'objet en vol. L'appareil (...) construit par un  ingénieur allemand dont il ne saura pas (...) où il se trouve. (...) On  suppose également que les secrets concernant cet avion ont été  recueillis par les Forces Alliées." Si ces pièces mises en lumière sont  vraies, elles constituent des éléments majeurs attestant des travaux  allemands sur les engins circulaires non conventionnels et d’autres  avions non répertoriés officiellement. A ce niveau de l'histoire, nous  avons divers témoignages indiquant qu'en 1945 les Russes et les  Américains, chacun de leur coté, auraient récupéré des informations  stratégiques sur ces appareils volants militaires. Par ailleurs, des  témoins divers, responsables dans ces programmes, auraient vu et  photographié les soucoupes volantes allemandes !
 
Le rapport secret Américain
Un  autre rapport secret existe. Il émane du bureau du gouvernement  militaire américain pour l'Allemagne, basé à Berlin, en date du 16  décembre 1947, signé du lieutenant colonel Harry H. Pretty. Le document  cite les frères Horten, inventeurs des avions allemands en forme de  delta portant leur nom : "(...) les deux hommes ont travaillé ensemble  sur le Horten VIII, aile volante prévue pour être un avion de combat  équipé de deux moteurs à réaction de 650 chevaux chacun (...) Walter  Horten est allé jusqu'aux essais sur le Horten IX (...) Cet avion a été  testé dans un tunnel de l'institut d'aéronautique situé à Goettingen.  Les essais étaient conduits vers la fin de l'été 1944 sous la  surveillance du professeur Betz, chef de l'institut. Betz était  considéré comme le meilleur spécialiste sur l'aérodynamique en Allemagne  à cette époque (...) Deux Horten IX ont été construits et essayés par  un pilote de la Luftwaffe, Eugen, à l'automne 1944 (...) La vitesse  atteinte était proche de 950km/h, mais le vol présentait des risques de  crash, avec un danger de rotation en vol de l'avion. Malgré tout, le  Horten IX a été validé par la Luftwaffe. Goering a lancé la production  immédiate en janvier 1945 (...) mais la production n'a pas pu aboutir  (...) : l'armistice en mai 1945 bloqua le projet (...)
A gauche, l'Horten Ho-XIII en vol ; A droite l'Horten Ho-229
 
Il  semble que les alliés n'aient pas pu obtenir les appareils d'essai qui  étaient cachés dans une mine de sel proche de Salsdettfut (...) Les  Britanniques, seuls, auraient néanmoins récupéré des prototypes ou des  plans en été 1945 (...) Les frères Horten ont été interrogés en  Angleterre et ont tenté de négocier leurs travaux. Walter Horten aurait  été rémunéré par les Anglais d'octobre 1945 à avril 1946 (...) Aucun  autre appareil ne semble malgré tout avoir été produit (à ce moment-là)  (...). En 1947, les USA ont lancé le programme Northrop, un avion à  ailes delta, une sorte de copie améliorée du Horten (...) Les frères  Horten et les spécialistes ayant travaillé sur les avions allemands à  ailes delta, déclarent que le concept d'un appareil allemand en forme de  soucoupe volante n'aurait jamais existé...". Information et contre  information se succèdent. Les témoignages varient sur la forme  discoïdale, mais tous attestent d'expérimentation de prototypes secrets  non conventionnels.
 
Les foo-fighters
Les foo-fighters
Rappelons  l'histoire des foo-fighters. Ces phénomènes lumineux poursuivaient ou  accompagnaient les différents avions engagés dans le conflit, durant une  partie de la seconde guerre mondiale. Les Allies pensaient évidemment à  une arme secrète nazie, les Allemands, eux, à une arme secrète des  Alliés. De nombreux clichés authentifiés existent de ces O.V.N.I.S, mais  il est difficile de parler ici de soucoupes volantes. Les foo-fighters  ressemblaient à des boules de lumière, denses et blanches, semblant  suivre les avions à très faible distance des ailes. Certains chercheurs  pensent qu'il s'agissait d'une sorte de prototype de drone nazi  radiocommandé. Leur mission consistait à s'approcher suffisamment près  des avions Alliés pour créer des perturbations électriques et faire  ainsi caler les moteurs pour provoquer le crash final. Si tel était le  cas, il semble que ces engins n'aient heureusement pas obtenu les  résultats attendus. Quoi qu'il en soit, plus de 60 ans plus tard, ce  mystère de l'ufologie n'est toujours pas élucidé.
Ci-dessus, photographie de foo-fighters parmi des bombardiers en vol pendant la seconde guerre mondiale
 
Des faits contradictoires
Des faits contradictoires
A  ce stade, nous sommes face à des éléments convergents et divergents.  Des scientifiques après la guerre parlent ; certains disent avoir suivi  des expérimentations d'engins en forme d’une soucoupe volante ; d'autres  disent avoir travaillé sur des avions à ailes delta sans jamais avoir  entendu parler des fameuses soucoupes. D'autres pilotes allemands ont vu  des engins aux formes insolites ou d’autres aux performances  inhabituelles évoluer dans le ciel. Informations et contre-informations  se croisent. Mais de tout cela se dégage la certitude qu'il y avait bien  "quelque chose" que les nazis expérimentaient et que ce "quelque chose"  n'était pas conventionnel. Cette activité était centrée sur la  recherche de l'arme secrète qui leur aurait permis de gagner la guerre.
 
Les V-1 et les V-2, les armes secrètes officielles
Les  seules armes secrètes officiellement admises par les experts sont les  V-1 et les V-2. Il s'agit de bombes volantes et de fusées porteuses  d'explosifs puissants que les nazis ont expérimentées et utilisées juste  avant la fin de la guerre. Le père de ce programme est Wernher Von  Braun. Ce dernier, mort en 1977, naturalisé Américain, est à l'origine  de la conquête spatiale américaine au sein de la NASA. Les V-1  ressemblaient à des sortes de bombes volantes munies d'ailes et d'un  réacteur dorsal, lancés à partir d'un avion ou de rampes au sol. Les V-2  étaient de véritables fusées porteuses d'une charge destructrice. Les  V-2 ont bombardé, depuis l'Allemagne, la Belgique, la France,  l'Angleterre et la Hollande principalement.
Ci-dessus, les fusée V-1 et V-2
 
Mais il y eut d'autres armes  secrètes, moins connues, comme le V-3 (canon à TRES longue portée d'un  calibre de 150mm) et le V-4 (missile sol/sol non guidé baptisé le  Rheinbote). Citons encore d'autres armes quasiment oubliées des  spécialistes et présentes sur ce site sous la rubrique "Les armes top  secrète de l'axe" : la Schlanke Berta (engin balistique), le Feuerlilie  F-25 et F-55 (missiles sol/air), l'Enzian (missile anti-aérien), le  Reintocheter R1 (missile sol/air haute altitude), le Wasserfal (missile  antiaérien radioguidé), le Schmetterling (missile à carburant liquide),  le X4 (missile air/air guidé), le HS 293 et le Fritz X (missiles  air/mer). Ces engins ont été testés et utilisés entre 1940 et 1944 mais  on peut considérer qu'ils n'ont guère dépassé le stade de prototype.  Leur mise en œuvre opérationnelle fut très limitée et classée top  secret. Néanmoins on retrouve quelques clichés rarissimes de ces armes  volantes.
 
La soucoupe volante de BMW
Deux ingénieurs  allemands ont dominé l'ensemble de tous ces prototypes dans les années  40, en travaillant sur des avions secrets opérationnels. Alexander M.  Lippisch s'orienta vers les appareils à réaction très courts et à ailes  delta de plus en plus accentuées et Viktor Schauberger qui débuta ses  travaux dès 1922 pour aboutir en 1940 à un engin en forme de soucoupe  volante fonctionnant sur la répulsion électromagnétique.
A gauche, Viktor Schauberger ; Au milieu, un des tous premiers  O.V.N.I.S expérimentés par Schauberger ; A droite, Alexander Lippisch
 
L'appareil  est la parfaite soucoupe volante telle qu'on l'imagine. Mais les  travaux de Schauberger sont restés au stade expérimental. Y-a-t-il eu  une vraie soucoupe volante en Allemagne ? La réponse est OUI ! Nous en  avons retrouvé la trace. Le modèle a été construit par BMW. Il s'agit  d'une Flügelrad I V-1. Sa structure était en aluminium et peinte en  gris. Ses premiers essais ont eu lieu sur l'aérodrome tchèque de Kbely  entre août et septembre 1944. L'engin était un disque surmonté d'une  coupole abritant le poste de pilotage. Le système de propulsion était  sous la structure, avec un train d’atterrissage à quatre roues. Lors des  essais, le rotor a commencé à tourner et l'appareil s'est élevé à une  hauteur d’un mètre. Il a volé sur 300m avant de faire un atterrissage  forcé.
Ci-dessus, la Flügelrad I V-1
 
Le diamètre du disque était de  6m. Le vol fut peu concluant, mais il s'agit bel et bien de la première  soucoupe volante attestée construite par les nazis ; sorte de compromis  entre l'avion à réaction et une structure discoïdale parfaite. On en  trouve d'ailleurs la trace dans une étude historique faisant référence  en la matière, publiée vers 2000 : "Hitler's miracle weapons", de  Friedrich Georg aux éditions Helion. Ce livre est tout sauf un ouvrage  "soucoupiste", n'en déplaisent aux contradicteurs. Le Flügelrad y est  présenté comme une réalité expérimentale, mais une réalité tout de même.  Un schéma en couleurs illustre d'ailleurs le texte. BMW construisit un  autre engin, le Fügelrad I V-2, peint en jaune. L'habitacle était plus  grand permettant à deux pilotes d'y prendre place. Le diamètre de la  soucoupe passe à 8m. C'est à l'automne 1944 que sont organisés les  premiers essais de cette version sur l'aérodrome de Neubiberg près de  Munich. Mais les problèmes de stabilité de l'engin circulaire sont  toujours une gène au vol durable. Un troisième prototype est construit  en février 1945, le Flügelrad II V-1 ; même structure avec un diamètre  encore plus grand : près de 13m. L'appareil secret est à nouveau essayé à  Kbely. Les ingénieurs et les responsables de la Luftwaffe sont actifs,  ils lancent encore trois autres versions : Flügelrad II V-2 et V-3 et le  Flügelrad III. Les versions V-2 et V-3 semblent avoir été plus stables  en vol. Il existe une photo montrant le II V-2 en vol. Du fait de  l'arrivée des Alliés, tous les essais sont stoppés en avril 1945.  L'ensemble des prototypes et de la documentation ont été détruits par  les militaires et scientifiques du Reich. On trouve seulement, en  provenance de l'actuelle république tchèque, des représentations  artistiques de l'objet en vol sans aucun détail technique, mis à part  pour le Flüglrad I V-1 (poids de 3t) et le Flüglrad III (diamètre de 24m  et une vitesse théorique de 1.000km/h). Alors, rumeurs ou incroyable  vérité ?
 
Vril et Haunebu
Il faut attendre les années 90 pour  qu'un livre allemand de Jan Van Helsing, publié en Français en 1995 sous  le titre "Les sociétés secrètes et leur pouvoir au 20ème siècle", fasse  à nouveau l'effet d'une bombe dans le milieu ufologique. L'ouvrage  publie les plans des prototypes militaires allemands des Haunebu I, II,  III, ainsi que celui du Vril I et du projet Androméda. En fait, de  parfaites soucoupes volantes sans aile que l’on qualifierait aujourd'hui  d’O.V.N.I.S. Ces plans sont synthétiques avec des annotations  techniques. Ils sont écrits en Allemand et possèdent le logo de la SS.  L'ensemble est accompagné d'une série de clichés montrant ces engins en  vol, marqués du sigle runique de la SS ou de la croix de la Luftwaffe !
Ci-dessus, plans des Haunebu I, II et III
 
L'auteur Jan Van  Helsing garde l'anonymat et utilise ce pseudonyme pour avancer à visage  caché. Même son éditeur allemand, Ewertverlag, ne le connaît pas  directement. Leurs échanges se sont passés par courriers anonymes, sans  adresse pour répondre. Depuis la parution du livre, de nouvelles photos  et de nouveaux plans des Vril et Haunebu circulent dans le monde, sans  que l'on sache d'où elles viennent. S'agit-il d'une vaste opération de  désinformation ? Il y a trop de documents différents pour penser que  tous sont faux ? Les Photos connues ont visiblement été réalisées par  plusieurs sources. Elles sont en noir et blanc ou en couleurs. Elles  montrent indifféremment ces engins au sol ou en vol. Certaines de ces  soucoupes volantes portent des marquages militaires allemands. Quelques  images sont même estampillées avec une référence d’archives militaires  allemandes. Encore plus étonnant, on trouve aussi quelques photographies  montrant ces Vril et Haunebu en vol, avec des avions classiques à  l’arrière plan ! Ces images ne sont bien évidemment pas des preuves, et  sans doute de splendides faux se sont glissés dans ces collections.  Elles représentent en tout cas ce que des témoins de l'époque ont vu en  Allemagne durant la seconde guerre mondiale.
 
L'origine des documents
Il  faut se demander pourquoi ces documents apparaissent aujourd’hui comme  par enchantement, après avoir passé plus de 50 ans dans les armoires  blindées de certaines agences. Tout d'abord, il faut admettre que dès  les années 50, certains témoins de l'époque disaient avoir photographié  ces appareils. D'autres prétendaient avoir sauvé des pièces et des  documents à leur sujet. Ce détail tend à accréditer l'authenticité d'une  partie au moins des documents. D'autre part, la guerre froide est  terminée depuis 1989 et les enjeux Est/Ouest ne sont plus les mêmes. Le  monde a changé de configuration ; l'attention des peuples est focalisée  sur d'autres sujets de préoccupation. Nous sommes entrés dans une ère  nouvelle, avec une nouvelle donne, de nouveaux accords, de nouvelles  priorités, et de nouveaux dangers qui menacent. Ces documents qui  présentaient une importance stratégique capitale dans les années 50/60,  ne représentent plus le même intérêt dans les années 90, et encore moins  aujourd'hui. On pourrait donc imaginer qu'un organisme distille  lentement ces documents dans le public, afin d'éviter que tous les faits  ne soient révélés d'un seul coup par des groupes de pressions  incontrôlés... Dans un monde d'informations où les secrets finissent  toujours par se savoir, cet organisme a donc jugé préférable de lever  progressivement le black-out, tout en mêlant aux données certains faux  et mensonges qui pourront s'avérer utiles le cas échéant. Le rythme  "homéopathique" des révélations anesthésie au fur et à mesure ceux qui  en prennent connaissance. Chaque information tombe dans une amnésie  molle avant que n'apparaisse la suivante. En terme de stratégie de  communication, c'est ce qu'on appelle la gestion de crise ou le contrôle  des fuites...
 
La nomenclature des projets volants nazis
Au  travers des pièces aujourd'hui disponibles, dans la littérature, les  archives de presse, les documents de groupes ufologiques ou sur le net,  il est possible d'établir une sorte de nomenclature de ces appareils  volants discoïdaux allemands. Par prudence nous l'aborderons au  conditionnel, mais de nombreux indices existent. Le plus connu est la  Vril 1. Il aurait été testé entre 1934 et 1945. Les prototypes seraient  allés jusqu'à la Vril 9 en 1945.
Ci-dessus, plan de la Vril 9
 
Après la série Vril, on trouve  les RFZ testés de 1934 à 1940, engins qui allaient donner naissance à la  Haunebu I expérimentée en 1939. La série Haunebu aura un type II qui  aurait été construit en 1940. On passe ensuite au système Andromeda,  avion gros porteur de forme cylindrique, sans aile, de près de 150m de  long. Ce dernier projet n'exista sans doute jamais sous cette forme là,  mais on trouve des clichés authentiques dans un autre projet proche, le  DFS 346 - intercepteur à moteur fusée. On trouve trace du DFS après la  guerre en 1948 du coté russe. Il fait penser à des descriptions faites  notamment par le contacté George Adamski. En 1939 surviendrait le  premier prototype de forme discoïdale : le Focke Wulf VTOL. Suivirent en  1945 le Horten IX et la série Gotha, des avions en forme delta. Le  Gotha aurait connu pas moins de 4 modèles P60 A, P60 B, P60 C et P70.  Avec certitude, on sait que les Horten ont bien fonctionné, ainsi que  l'avion à hélice et à aile circulaire Sack AS6, parfaite soucoupe  volante. Un autre appareil, le Focke Wulf Ta 183, petit avion court à  réaction, est l'un des projets non conventionnels ayant le plus avancé.  On trouve les plans de cet engin aujourd'hui ressortis d'études comme «  Secret Messerschmitt Projects ». On voit donc constamment se mêler des  informations concernant des appareils secrets réels et des prototypes  supposés. Difficile de se repérer, info, intox, les deux à la fois ?  Mais à l'étude de tout cela on reste convaincu qu'un fond de vérité  incontournable émerge... intime conviction... !
 
L'opération Paperclip
Cette  opération, souvent ignorée du public, atteste que les savants nazis  avaient développé des technologies aéronautiques importantes, mais ils  étaient également des experts en armes chimiques dont les psychotropes,  sur les missiles balistiques et les armes à longue portée. L'opération  Paperclip a été menée à la fin de la guerre par l'état-major américain  dans le but de récupérer près de 1.500 scientifiques allemands. Ceux-ci  furent affectés, par le Pentagone, à des recherches pour le compte des  Etats-Unis, depuis les bases de White Sands au Nouveau Mexique et de  Fort Bliss au Texas. Il se trouve que dès octobre 1946, l'Amérique  fabriquait-elle aussi un avion-militaire en forme de soucoupe, le Chance  Vought Skimmer, une aile volante quasi-circulaire pouvant atteindre les  850km/h.
A gauche, le Chance Vought Skimmer ; A droite le SackAS6
 
Ce  modèle ressemble étrangement au Sack AS6 des Allemands. L'opération  Paperclip a joué son effet. Suivront après d'autres modèles comme le  Northop XB 35, inspiré des ailes delta des frères Horten. Les documents  clefs sont encore à venir, pour preuve le déclassement récent, en 1997,  d'un rapport top secret de l'air Force, provenant de « l'air Technical  Intelligence Center, Wright-Patterson Air Force Base Ohio daté de  février 1955 » : "Joint ATIC WADC Report on project silver bug, project  N°9961". Il s'agit tout simplement des plans d'un prototype de soucoupe  volante que l'armée américaine a testé dans les années 50. Ce projet  était arrivé aux oreilles de la communauté ufologique, mais n'existait  pas officiellement, tout au plus une rumeur ou un vague projet illustré  de quelques dessins d'artiste.
Ci-dessus, le prototype de soucoupe mis au point par l'armée américaine dans les années 50
 
Ce  rapport de 30 pages apporte un démenti. C'est un document préliminaire  de conception, incluant des schémas en coupe de l'engin, ses  caractéristiques d'exécution, les systèmes de commande et les  problématiques de vol ; l'appareil est simplement nommé "Aircraft  Project Y2". L'histoire de ce rapport indique encore que l’étude  ébauchée dans ce mémo serait basée sur des travaux expérimentaux nazis !  Les pièces du puzzle se mettent en place. Les Vril et Haunebu ne  seraient que des mythes, des légendes, mais la première puissance  militaire du monde, en l'occurrence les Etats-Unis d'Amérique, teste  juste après guerre des prototypes d'avions circulaires ou en forme de  soucoupe volante. C'est beaucoup d'argent et de compétences engagés du  jour au lendemain sur de simples rumeurs...
 
Conclusion
L'histoire  des soucoupes allemandes ne remet pas en cause les fondements de  l'ufologie. Le seul lien existant est le fait que des témoins aient vu  des choses semblables à différentes époques. Pour l'Allemagne, il  s'agissait d'armes secrètes expérimentales ; pour les dossiers O.V.N.I.S  survenus après la guerre, il s'agit d'un phénomène X qui interfère avec  notre environnement, sans lien entre les deux sources. La seule  question qui reste véritablement en suspend est celle-ci : comment les  ingénieurs allemands ont-ils pu dessiner des formes aussi en avance pour  l'époque comme les ailes delta des Horten ou en soucoupe des Sack ou  Flügelrad ? Gageons que les mystères des O.V.N.I.S allemands et des  armes secrètes volantes du IIIème Reich ne sont pas près d'être  élucidés. Récemment encore, dans des articles parus en 2005 aux  États-Unis, un hebdomadaire people à grand tirage titrait : "A la  recherche des soucoupes volantes nazies, les secrets des O.V.N.I.S de la  seconde guerre mondiale", "L'armée de l'air allemande a fabriqué des  O.V.N.I.S pendant la seconde guerre mondiale", "Des soucoupes volantes  nazies sont cachées en Antarctique, une menace pour les USA" ou encore  "Un V-2 trouvé sur la Lune". Le sujet n'a donc pas fini de fasciner les  foules. Retenons simplement que l'histoire des armes secrètes volantes  allemandes est rattachée à l'épopée militaire du 20ème siècle, histoire  sur laquelle il est possible maintenant de faire des recherches par le  biais des fonds d'archives. Et puis notons que plusieurs noms de  scientifiques allemands sont liés à ces recherches des années 40 comme  Arthur Rudolph, Hans von Ohain, Bernhard Tesman, Wernher Von Braun ...  la liste n'est pas exhaustive. L'étude de cette partie de l'histoire  passe donc par une approche objective, même si les noms et faits cités  ne font pas l'unanimité et semblent déranger certaines convictions  intimes. Les soucoupes volantes allemandes, les armes secrètes du IIIème  Reich sont sans doute une histoire plus humaine que l'on imagine, mais  en aucun cas une fantasmagorie pure comme on l’a trop souvent dit. Donc  avec la prudence requise, l'enquête continue...
Source : http://conspiranazie.onlc.fr/8-Les-ovni-de-la-conspiration-nazie.html
 
                     
                             
                                                                                             
                                                                                             
                                                                     
                                                                     
                                                                     
                                                                    