Les recontres rapprochées et les victimes humaines

par damino - 1879 vues - 0 com.
Alien, ovni, ufologie

Au cours d'un symposium consacré au phénomène OVNI qui se tint le 29 juillet 1968 à Washington, au Comité de la Science et de l'Astronautique sous l'égide de la Chambre des Représentants, le Dr McDonald aborda la question de leur hostilité[8]. En suspens, il estimait que "dans une large mesure, on semble devoir parvenir à la conclusion qu'il n'y a pas d'hostilité". Mais en ce qui concerne les périls, il était beaucoup plus nuancé, reconnaissant que "des personnes dignes de foi ont déclaré avoir reçu des blessures sérieuses résultant de quelque action de la part d'un OVNI. Mais dans le phénomène OVNI, on semble se trouver en présence d'un très grand nombre de phénomènes inexpliqués, inhabituels, et si, d'aventure, on rencontre parmi eux des cas où se manifeste un péril, il serait prématuré de leur attribuer une valeur d'hostilité. Néanmoins, aussi longtemps que nous demeurerons aussi profondément ignorants de la nature globale du phénomène OVNI, il paraît prudent de n'émettre à son sujet que des jugements réservés, et à simple titre de suggestions".

Cela me rappelle qu'au milieu des années 1970, "dans le but d'informer préalablement l'opinion publique", l'université japonaise d'Hokkaïdo et plusieurs collèges du niveau secondaire donnèrent des cours sur la "science clipéologique", c'est-à-dire "l'étude normale des problèmes posés par les OVNI et leurs implications dans les différents domaines de la vie terrestre". Toujours très prudents devant les méfaits de dame Nature ou des hommes, les Japonais prenaient les devants afin d'éviter une panique éventuelle de la population.

Ceci dit, les faits restent ce qu'ils sont, et les quatre témoignages qui suivent, extraits de quelques autres cas "classiques", nous permettent de conclure qu'à trop s'approcher des OVNI ils peuvent devenir dangereux.

Ces situations sont purement extraordinaires et révèlent toute notre méconnaisance du phénomène. A ce titre également, il serait grand temps que la communauté scientifique porte un jugement plus objectif sur ce phénomène, sans a priori.

1. L’affaire du Cap. Mantell : crashé

Le 7 janvier 1948 à 13h15, une patrouille routière de police de Louisville, au Kentucky, téléphona à la base de Godman, proche de Fort Knox, pour savoir s'il n’y avait pas un avion inhabituel en vol. Des gens avaient observé un étrange objet dans le ciel de 70 à 90 m d'envergure.

La tour de contrôle ignorait de quoi il s'agissait et interrogea à son tour la base de Wright-Patterson. Celle-ci répondit qu'elle n'avait aucun appareil en l'air. Un peu plus tard la police rappela. L'OVNI était à nouveau signalé et se déplaçait vers l'ouest de Louisville. A 13h45 la base de Godman confirma visuellement la présence de l'objet aux jumelles et le Colonel Hix, commandant d'unité envoya à 14h30 une escadrille de trois P-51 pour l'intercepter.

Le leader de la patrouille est le capitaine aviateur Thomas F.Mantell[9]. Il monte à sa rencontre avec les deux autres chasseurs à une vitesse d'environ 500 km/h, puis vers 14h45 il envoie ses premières impressions par radio : "- Je vois quelque chose en avant de moi et plus haut. Je continue à grimper". Comme l'écriront les enquêteurs, les ufologues lui attribuèrent les phrases suivantes vers 15h15 : "J'ai vu le machin. Il paraît métallique et il a des dimensions énormes... le voilà qui se met à grimper... L’objet est au-dessus et en avant se déplaçant presque à ma vitesse ou plus rapidement. J’essaye de m’approcher pour mieux l’observer". L’un des ailiers estima la vitesse de l’objet à 2900 km/h. Mantell aurait ajouté quelques secondes plus tard : "Il est au-dessus de moi et je gagne sur lui. Je monte à 6000 m". Ce fut là son dernier message. A 4500 m d'altitude, les deux ailiers essayèrent frénétiquement d'appeler Mantell qu'ils ne voyaient plus. Ils le perdirent dans les nuages, et plutôt que risquer de tomber à court de carburant ils revinrent à leur base, contraint de laisser leur capitaine continuer seul.

En passant par la tour, l'un des coéquipiers déclara ne rien avoir vu, si ce n'est un effet de réflexion sur sa verrière. Les deux avions se poseront à Standiford Field, au nord de Godman. Un des avions refit le plein de ses réservoirs, prit un masque à oxygène et reprit l'air pour explorer la région. Il ne vit rien. La tour de contrôle cessa de voir l'OVNI à 15h50.

Vers 16h, une patrouille de reconnaissance retrouvera le corps du Cap.Mantell dans les débris du P-51 éparpillés sur plusieurs kilomètres près de Fort Knox. L'avion était vraisemblablement tombé en vrille jusqu'au sol. D'après le rapport d'enquête, le P-51 perdit une aile à cause d'une vitesse excessive et effectua un piqué après que Mantell eut perdu connaissance par manque d'oxygène.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Vers 19h20 toutes les tours de contrôle du Midwest signalèrent qu'elles voyaient un autre OVNI dans la direction de l'horizon sud-ouest. Pour l'armée, ce prétendu OVNI n'était que la planète Vénus.

Assaillies de questions, les autorités du Project Sign trouvèrent tout de suite une explication. Un P-51 ayant chassé Vénus quelques semaines auparavant et dans des conditions similaires, ils proposèrent cette hypothèse avant même que les équipes de secours eurent atteint l'avion accidenté. Mais cette fois l'ATIC n'accepta pas cette explication. La rumeur avait déjà rapporté les propos de Mantell : "il paraît métallique et il a des dimensions énormes". Au bout de plusieurs semaines les autorités hésitaient toujours entre Vénus et un ballon stratosphérique et la population avait le sentiment que le Pentagone lui cachait quelque chose. En 1952 le bureau des "Public Relation" du Pentagone fut à nouveau assailli par un flot de demandes concernant l'affaire Mantell.

E.Ruppelt rouvrit le dossier de 1949 et réanalysa les microfilms. C'est ainsi qu'il apprit que c'était le Dr Hynek qui portait la responsabilité de cette confusion, Hynek proposa l'hypothèse d'une confusion avec Vénus parce qu'elle se trouvait presque au même point du ciel que l'OVNI à 15h. Il s'en excusa et refit avec Ruppelt une analyse minutieuse de la situation et des descriptions d'alors. Après vérifications, Ruppelt fut convaincu qu'il y avait bien eu quelque chose en haute altitude ce jour là et qu'il ne s'agissait ni de faux soleil (parhélie) ni de reflets.

Il est vrai que Mantell revenait d'un vol d'entraînement et volait sans inhalateur à oxygène. De plus Ruppelt rappela dans son rapport que les pilotes connaissaient bien la consigne : "En aucun cas, il ne faut dépasser 4500 mètres sans oxygène". Ruppelt conclut que lors d'expériences dans des chambres à compression "certains d'entre nous résistaient à 4500 mètres, mais personne ne dépassait jamais 5000 mètres". Or les contrôleurs l'avait bien entendu dire : "Je monte à 6000 mètres". Les amis de Mantell savaient que leur coéquipier avait plusieurs années d'expérience et était un pilote extrêmement prudent. L'un d'eux ajouta cependant : "Je ne peux que penser une chose : il a cru remplir une mission plus importante que sa vie ou sa famille". Ruppelt restait perplexe.

En continuant son enquête il découvrit qu'un astronome domicilié au nord de Nashville, dans le Tennessee, avait observé un OVNI à 16h45 au télescope et reconnut qu'il s'agissait d'un ballon.

Recoupant cette information avec les expériences consignées à Wright Field, les archives ne contenaient aucune trace de lancements en 1948, ceux-ci s'effectuant alors à la base de Clinton County, dans l'Ohio méridional. Malheureusement Ruppelt n'eut jamais connaissance de ces informations. Certains journalistes ont supposé que ces informations étaient gardées secrètes dans le cadre du programme Skyhook. La direction suivie par les vents indiquait toutefois qu'il était tout à fait possible qu'un des ballons lancés de cette base ait été à 100 km de là. De tels ballons-sondes, de plus de 30 m de diamètre, pouvaient encore être observés à 18000 mètres d'altitude. Or on ne s'attend pas à trouver un objet de cette taille à cette altitude, dérivant lentement ou grimpant rapidement en fonction des courants. Mais en principe un pilote ou même un observateur attentif est capable d'identifier un tel objet. Il semblerait toutefois que Mantell n'avait jamais entendu parlé de ballons de cette taille et n'en avait jamais vu. Après une enquête minutieuse et objective Ruppelt répondit au Pentagone qu'"il avait pu s'agir d'un ballon". Pour les amateurs de sensationnel, Mantell sera la première victime des soucoupes volantes.

2. L’affaire Desvergers : brûlé

Le 19 août 1952, vers 21h, Sonny Desvergers[10], chef scout de West Palm Beach en Floride, âgé de 30 ans, raccompagne en voiture trois jeunes scouts à leur domicile, quand ils aperçoivent une lueur descendre du ciel, sur la gauche et disparaître parmi les pins de Virginie. L’objet était entouré de six lumières rougeâtres. Intrigué, pensant qu'un avion s'était écrasé, Desvergers demanda aux enfants de rester dans la voiture, les laissant écouter une émission à la radio qui devait durer un quart d'heure. Il leur dit que s'il n'était pas de retour d'ici un quart d'heure, il leur faudrait courir jusqu'à la ferme qu'il venait de dépasser, pour y demander de l'aide. Desvergers se rendit seul sur les lieux, muni d'une machette et de deux lampes de poche.

Au bout d'une cinquantaine de mètres, il pénétra dans un fourré de palmiers nains et de broussailles lorsque tout à coup il s'arrêta, prenant conscience de la présence d’une étrange odeur "âcre" et "pénétrante" ainsi qu'une légère différence de température, analogue à celle qu'on ressent le soir, après le coucher du Soleil, devant un mur de brique. Il marcha encore une trentaine de mètres pendant lesquels les enfants pouvaient encore suivre la lueur de sa lampe. Soudain il constata la présence d'une énorme forme immobilisée à quelques mètres au-dessus du sol, cachant presque tout le firmament. Il avait le profond sentiment d'être épié et de perdre sa capacité de raisonnement. En éclairant rapidement mais précisément le bord de l’objet, il découvrit qu'il s'agissait d'une forme circulaire d’environ 10 m de diamètre et d’un mètre d’épaisseur, légèrement concave au centre. Sa surface était unie et de couleur grisâtre. La partie supérieure portait une protubérance analogue à une tourelle. Le bord de la soucoupe était épais et recouvert d'ailettes, semblables à celles d'une turbine, écartées d'environ 30 cm, avec une ouverture pareille à une buse à la droite de chacune d’elle. Tout d'un coup il remarqua que les ombres de la tourelle se déplaçaient légèrement et il entendit un son, "semblable à l'ouverture d'une porte de coffre-fort bien huilée".

Une petite boule de feu rouge en sortit et descendit sur lui. En tombant elle émit un nuage de brume rouge. Laissant choir sa lampe et sa machette, il se couvrit le visage avec les mains et s'évanouit lorsque le nuage l'enveloppa. Les enfants avaient tout observé et, lorsqu'ils le virent tomber, descendirent de la voiture et coururent vers la ferme.

Le fermier et sa femme comprirent que leur chef était en difficulté et avertirent la police. Le Deputy Sheriff Mott N.Partin et le Constable Low Carroll de Lake Woth arrivèrent au bout de quelques minutes. Les enfants leur indiquèrent l'endroit de l’incident.

Revenant à lui, Desvergers scruta les alentours, mais l'objet avait disparu. Sa première réaction fut de courir vers la route. Il se trouvait au milieu du fourré de palmiers nains quand les autorités le trouvèrent. Ils déclarèrent n'avoir jamais vu de personne aussi effrayée que le jeune éclaireur.

En accompagnant le shérif au bureau de police, Desvergers se rendit compte qu'il était brûlé au visage et aux bras, et sa casquette de coton était percée de trois trous visiblement brûlés. Le shérif appela directement l'Armée de l’air. Ruppelt et cinq enquêteurs de l'ATIC écouteront attentivement l'aventure du jeune éclaireur et eurent la conviction qu'il disait la vérité. Il ne cessait de leur demander : "Mais qu'est-ce que j'ai vu ?", pensant que l'armée pouvait lui répondre.

L'enquête montrera que Desvergers avait des brûlures jusqu'à l'intérieur des narines, mais leur gravité ne dépassait pas celle d'un "coup de soleil anodin". Ses cheveux étaient également un peu roussis, comme s'il avait été victime d'une chaleur intense mais passagère. Les racines des herbes, au-dessus desquelles l'OVNI stationna, étaient carbonisées, ayant subi une température de quelque 150°C. Cependant le rapport de Ruppelt est ici contradictoire. Il dit clairement que l'herbe en question "n'était pas brûlée". Cherchant les traces d'une mystification, il ne trouva aucun indice pouvant contredire l'histoire de Desvergers. Il conclut : "l'histoire était vraie".

3. L’affaire Michalak : irradié

Le 20 mai 1967, à 12h15, Steven Michalak[11], un mécanicien de 52 ans, aperçoit dans la ville de Falcon Lake, en Ontario, au Canada, deux objets rougeoyants volant à grande vitesse. L'un des deux OVNI se pose dans un halo incandescent. Michalak resta une demi-heure à observer l'objet, lorsqu'une porte s'ouvrit, diffusant une lumière violente. S'approchant de l'objet, Michalak entendit deux voix quasi humaines. Convaincu d’avoir à faire à un nouvel engin expérimental américain, il interpella les occupants et leur demanda s’ils avaient des problèmes. Ne recevant aucune réponse, Michalak s’approcha de l’engin et le toucha avec ses gants. Il ne remarqua aucun joint de fermeture, la surface de l’engin était polie avec grand soin et ressembla à du verre coloré réfléchissant la lumière. Mais en retirant sa main, il découvrit avec stupeur que son gant avait brûlé et fondu, tout comme le chapeau qu’il portait. A cet instant l’engin se mit à tourner, libérant un jet d’air chaud par une série de petites buses disposées dans la coque. La veste et la chemise de Michalak se mirent à brûler, lui causant une violente douleur au ventre. Il entendit également un son aigre et sentit une odeur ressemblant à un circuit électrique brûlé. L’engin s'éleva ensuite rapidement et disparut dans le ciel.

Souffrant de brûlures sur le ventre, il décida de se faire examiner par son médecin de famille. Celui-ci découvrit que Michalak présentait effectivement de curieux stigmates sur le ventre, des brûlures du 3e degré formant un damier composé de 5 lignes de taches circulaires d'environ 15 mm de diamètre disposées sur 4 colonnes. Durant les jours qui suivirent cet incident, Michalak fut incapable de manger et perdit 11 kg. La quantité de lymphocyte contenu dans son sang chuta de 25 à 16%, et revint à la normale au bout de 4 semaines. Il soufra de diarrhée, d’urticaire généralisé et se sentit périodiquement faible, avait des vertiges et fut pris de nausées.

Au total, Steven Michalak fut examiné par 27 médecins mais personne ne fut capable d’expliquer ce qui lui était arrivé. Selon le Dr. Horace Dudly, chef du Laboratoire des Radio-isotopes de l’hôpital de New York, les symptômes présentés par la victime sont “l’image classique d’une exposition sévère et complète à des radiations X ou gamma. Michalak reçut de l’ordre de 100 à 200 roentgens. Il fut heureux que cette dose de rayonnement n’ai duré qu’un court instant sinon il aurait certainement reçu une dose létale...”

4. L’affaire Inacio de Souza : décédé d’une leucémie foudroyante

Le 13 août de la même année, à Crixas, Etat de Goias, Brésil, Inacio de Souza, un domestique agricole complètement illettré, et son épouse Maria qui n'ont jamais entendu parler des "soucoupes volantes", regagnent la ferme où ils sont employés. C'est une hacienda de plusieurs milliers d'hectares, disposant de sa propre piste d'atterrissage pour l'avion privé du propriétaire, el senior A.S.M.

En arrivant près des bâtiments ils aperçoivent un "drôle d'avion" posé sur la piste : "On aurait dit une cuvette renversée d'environ 25m de diamètre". Mais le couple s'inquiétait encore plus en constatant la présence de 3 silhouettes entre l'objet et la maison : "Ils paraissaient chauves. Ils semblaient jouer comme des enfants, mais en silence. Quand ils nous ont aperçus, ils m'ont désigné du doigt et se sont mis à courir dans notre direction. J'ai pensé qu'ils voulaient nous attaquer. J'ai pris peur, et, comme j'avais ma carabine, j'ai tiré sur le plus proche. Au même moment, un rayon vert, très lumineux, est parti de l'appareil et m'a touché à l'épaule gauche. Je suis tombé à terre. Maria s'est précipitée sur moi, a ramassé le fusil. Mais les êtres étaient rentrés dans leur engin qui s'est élevé verticalement, et à grande vitesse, avec un léger bruit, semblable à un bourdonnement d'abeilles".

Les conséquences de cette action seront tragiques pour Inacio de Souza. Dès le lendemain il fut pris de nausées. Il ressentit des fourmillements et un engourdissement général. Ses mains tremblaient. Inquiète, Maria le conduisit à Goias pour lui faire subir un examen médical complet. Le médecin qui l'examina découvrit sur sa poitrine une brûlure circulaire de 15 cm de diamètre à hauteur de l'épaule gauche. Le médecin le garda en observation. Quatre jours plus tard il le renvoya chez lui. Son patron, surpris, demanda des explications au médecin. Il lui répondit : "Votre serviteur est condamné. Il est atteint d'une leucémie foudroyante. Il ne lui reste que deux mois à vivre, au maximum".

Très vite, en effet, l'état d'Inacio se dégrada. Des taches pâles, jaunâtres d'un centimètre carré apparurent sur sa peau. Il commença à maigrir, ressentant des douleurs terribles. Il mourut le 11 octobre, moins de 2 mois après l'incident.

D'après les symptômes observés, Inacio aurait été exposé à une dose létale de rayonnements ionisants, dont les nausées furent l'un des premiers effets. Ces symptômes ne durent que 2 ou 3  jours, comme ce fut le cas pour Inacio. Les fourmillements, l'engourdissement général accompagné de tremblements sont également les symptômes classiques d'une irradiation.

Alors, si un jour vous observez un OVNI vous lancer un rayon vert, méfiez-vous. Mal réglé il peut vous tuer ! Je ne plaisante pas car en 1954 Marius Dewilde, à Quarouble, dans le Nord de la France fut paralysé temporairement par un rayon vert analogue, brillant "comme une lueur de magnésium". Vous voilà prévenu.

Nous pouvons également citer des Indiens poursuivis dramatiquement par des OVNI aux Etats-Unis et bien d'autres manifestations analogues provoquées par des "éclairs violents" ou les "lumières vertes" jaillies de ces mystérieux engins : une paralysie temporaire (France, 1965), un empoisonnement par radiations (Villas Boas, Brésil, 1957) et même un coma de 5 jours précédé par une perte de la vue et de la parole (Antoine Séverin, Réunion, 1975). Rassurez-vous la victime retrouva la santé.

Enfin, depuis 1975, les ufologues allemands ont répertoriés 1330 cas de rencontres rapprochées (100m de distance ou moins) dans lesquelles se manifestaient des phénomènes électromagnétiques ou gravitationnelles (variation de température, rayonnements divers et même radioactifs, champs magnétiques intenses). Dans 32 cas, alors que l'OVNI dégageait un lumière intense, il y eut simultanément une chute brutale de la température et un rayonnement intense, des phénomènes qu'aucun physicien ne peut aujourd'hui expliquer.

Que peut-on dire de plus ? Que les personnes auraient négligé leur propre sécurité ou se seraient infligées volontairement ou inconsciemment ces blessures ? Malgré leur apparente invraisemblance, il faut malgré tout se demander pour quelle raison un homme censé et intègre se mutilerait sachant qu'on se moquera finalement de lui ou risquerait sa vie en poursuivant une chimère ? 

Il est difficile de croire que les pilotes qui ont été victimes d'OVNI, et nous en citerons d'autres plus spectaculaires encore, ignoraient à ce point leurs limites et celles de leur machine ou l'aspect des principaux objets (planètes, ballon, nuage de gaz) pouvant apparaître dans l'atmosphère. Ces pilotes sont généralement expérimentés. Les instruments de bord n'ont jusqu'à présent révélé aucune défaillance mécanique, si ce n'est l'asphyxie des pilotes ou de leur moteur par manque d'oxygène.

Dans les autres cas, comment imaginer un seul instant qu'il s'agit d'hallucinations quand l'objet est observé par plusieurs témoins, quand il est suivi au radar et observé simultanément par des avions commerciaux ? Et que conclure lorsque le contact conduit la victime à l'hôpital ?

Force est de constater qu'échafauder une hypothèse par mépris des faits ou par simple analogie est une méthode qui, dans de telles circonstances, va à l'encontre de la démarche scientifique. L'explication est ailleurs ainsi que nous le démontre la troisième catégorie de rencontre, bien plus étrange encore

Source : http://www.astrosurf.com/luxorion/ovni-rencontre-2type3.htm

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