la veritable histoire de L' AMIRAL RICHARD EVELYN BYRD

par damino - 3995 vues - 0 com.
Mystère, légende, archéologie

L'histoire de l'amiral Richard E. Byrd est assez simple si on s'en tient à la version officielle, mais si on creuse d'avantage les faits grâce à son journal personnel, elle devient à la fois fascinante, pleine de rebondissements et de mystères. En tout cas une chose est sûre, avant la Deuxième Guerre Mondiale, à une époque où les évènements étaient moins scrupuleusement contrôlés qu'aujourd'hui, le thème d'une Terre Creuse ressemblait plus à une curiosité qu'à une réalité. C'est à partir de 1947, avec apparemment les découvertes qui s'en sont suivies, que Richard E. Byrd sera tenu au secret et que le thème de la Terre Creuse deviendra, nous verrons plus loin pourquoi, LE SUJET ultra secret de l'époque, et il l'est encore aujourd'hui.

Après avoir servi loyalement sa patrie comme pilote d'avion durant la Première Guerre Mondiale, l'Américain Richard E. Byrd, à partir de 1924, prit le commandement d'un petit détachement d'aviation navale en vue d'une expédition à l'Ouest du Groenland. Cette mission dans le Grand Nord lui donna l'ambitieuse idée d'être le premier à voler au-dessus du pôle Nord. Le 9 mai 1926, il prit place dans un monoplace de type Fokker 3 et s'envola de King's Bay. Il a dit de cette expédition : "Des contrés inconnues, droit devant nous, nous expérimentions l'incomparable satisfaction de chercher de nouvelles terres. Lorsque nous nous sommes approchés du pôle, le temps et la direction sont devenus sens dessus dessous… ici et là, au lieu d'une étendue de glace, apparut une séparation marquant le début d'une eau vert bleue. A un moment donné, méprisé par la distance, parmi des nuages flous en formation basse, le haut des montagnes d'un pays lointain…" A son retour aux États Unis, Richard E. Byrd est devenu un héros national. On le fit contre-amiral et il reçut une médaille d'honneur. Mais déjà un doute planait sur ce qu'avait vu Byrd, car son témoignage d'une mer sans iceberg débouchant sur une terre inconnue rappela fortement les descriptions qu'ont fait des navigateurs par le passé. A l'automne 1928, Byrd annonça qu'il préparait un nouveau voyage "aux confins de la terre", mais cette fois-ci dans les régions inconnues de l'Antarctique. Il fit une telle publicité qu'il réussit à obtenir un soutien financier de la part de Ford et Rockefeller. Un déluge de donations le submergea, en tout plus de 400 000 dollars. Avec tout cet argent, il renouvela totalement son équipement. L'expédition prit le large et s'établit en bordure de la mer de Ross. Byrd baptisa sa nouvelle base " Little America ".

Richard E. Byrd

L'aventure prit un nouveau départ le 29 novembre 1929. Comme à son habitude, Richard E. Byrd, fit à nouveau le compte rendu de son expédition et ne put s'empêcher de jouer avec les mots : "Ce point imaginaire qu'est le pôle Sud, est un endroit déroutant. Tous les méridiens convergent ici… Les directions, telles que nous les connaissons habituellement, ne veulent rien dire. Pour toute personne voyageant dans le sens du Nord ou du Sud, il lui sera impossible de marcher en ligne droite et de garder la même direction. Sa direction aura tendance à changer notablement chaque minute; pour rétablir sa direction d'origine, il devra se forcer à suivre une route en spirale…"

Mais aujourd'hui, une polémique se dégage au sujet d'un petit reportage filmé qui aurait été projeté dans de nombreux cinémas des États Unis, cette même année de 1929. Dans son livre "The Hollow Earth Énigma", Alec Maclellan fait mention du témoignage de Miss Dorothy E. Graffin de New York. Elle se souvient très bien avoir vu ce reportage dans les actualités filmées qui passaient au cinéma avant le film. Ce jour-là, elle était au White Plains de New York, accompagnée de sa sœur. Aujourd'hui personne ne mentionne ce documentaire que, pourtant, plusieurs centaines d'individus ont dû voir à l'époque. Dorothy se rappelle que ce reportage de 1929, narrait l'incroyable découverte que fit l'amiral Byrd à l'intérieur de la Terre, au pôle Sud. Le reportage était accompagné de la voix de Byrd en personne qui s'exclamait en présence de l'incroyable. Alors qu'il survolait un paysage inconnu, il s'approcha d'un lac entouré de conifères et aperçut un énorme animal se déplaçant parmi les arbres. Byrd dans son style un peu lyrique, le compara à "une montagne de charbon étincelant de diamants" !!? Aujourd'hui, on s'en serait douté, ce reportage a totalement disparu des archives et parait n'avoir jamais existé …

L'amiral Byrd retourna à Little America, en 1933. Entre mars et août 1934, il passa cinq mois, seul dans une hutte transformée en observatoire météorologique, à 125 miles de Little America. Subissant une température de -60°, il fut rapatrié et sauvé d'une mort certaine. Durant la Seconde Guerre Mondiale, Byrd fut rattaché en tant que membre chef des opérations navales.

Carte de l'Antarctique montrant les différents vols de Richard Byrd, fin 1929.

En 1946, Richard Byrd fut chargé d'un nouveau programme du nom d’" Opération High Jump ". Sa mission consistait à poursuivre l'élaboration des cartes des pôles Nord et Sud, mais il lui fut également demandé de vérifier si des Nazis ne se seraient pas "égarés" dans le coin. En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Arctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle (Nord). Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures, ce jour du 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.

C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant près d'un demi-siècle et c'est finalement à la fin des années 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol. Alec Maclellan en parle dans son livre en indiquant que "The Hollow Earth Society of Australia" a obtenu une copie de son journal personnel qui reprend les notes de son carnet de vol. En voici de très larges extraits :

"Je dois écrire ce journal en secret. il concerne mon vol du 19 février 1947 dans l'Arctique. Maintenant vient le temps où la rationalité de l'homme doit se flétrir dans l'insignifiance et il nous faut accepter l'inévitable vérité. Je ne suis pas libre de vous dévoiler la documentation suivante. Elle ne verra peut-être jamais le jour auprès d'un public rigoureux, mais je dois faire ici mon devoir envers toute personne qui lira ces lignes un jour. Dans l'espoir que la cupidité et l'exploitation d'un certain type de personne ne pourra plus longtemps dissimuler la vérité".

Richard E. Byrd.

FLIGHT LOG - CAMP ARCTIC, FEBRUARY 19th 1947. "Tous les préparatifs ont été réalisés pour un vol en direction du Nord et nous décollons avec le plein de carburant… Vérification de position avec le sextant à bulle et nouvelle vérification avec la boussole solaire, notre avant exécute un changement léger et la course se poursuit comme planifié… Une légère turbulence est notée dans la direction de l'Est à une altitude de 2321 pieds. Correction à 1700 pieds, aucune autre turbulence, mais le vent d'arrière s'accroît, légers réglages de contrôle, les performances de l'avion sont maintenant normales. Le contact radio est vérifié avec le camp de base, et la réception est normale. Vaste glace et neige en-dessous. Note une couleur jaune, dispersée en motifs linéaires. Déviation du vol pour mieux examiner cette couleur. Couleur rouge-violet également. Exécutons deux cercles complets autour de la région et retournons vers orientation d'origine. Contrôle de la position établie avec la base. Transmission des informations concernant la couleur de la glace et de la neige du sol. Les boussoles commencent à tournoyer dans tous les sens. Impossibilité de garder notre (Byrd voyage avec un coéquipier) route et de se fier aux instruments. Nous supportons les caprices de la boussole. Positionnement effectué par le soleil, tout semble aller bien. Les commandes mettent du temps à réagir, très mauvaise qualité. Maintenant aucune présence de glace… 29 minutes de vol plus tard, premier rapport indiquant des montagnes, ce n'est pas une illusion. Des montagnes forment une petite chaîne que je n'avais jamais vu auparavant. Changement d'altitude, 2950 pieds. Affrontons une nouvelle turbulence. Franchissons la petite chaîne de montagne… Au-delà la chaîne de montagnes apparaît une vallée avec un petit fleuve ou rivière se dirigeant vers le centre de la vallée. Il ne devrait pas y avoir de vallée verte ici. Il y a définitivement quelque chose qui cloche et d'anormal ici. Nous devrions être au-dessus de la glace et de la neige. A bâbord, de grandes forêts poussent sur le versant de la montagne. Les instruments filent toujours comme une toupie. Le gyroscope oscille d'arrière en avant. Je modifie mon altitude de 1400 pieds et effectue un virage abrupt vers la gauche pour examiner la vallée. C'est vert avec de la mousse ou une sorte de d'herbes très dense. La lumière est différente ici. Je ne vois plus le soleil. Nous tournons à nouveau sur la gauche en direction d'un gros animal ou quelque chose de semblable, ça ressemble à un éléphant. Non, on dirait un mammouth. C'est incroyable, mais pourtant il est bien là. Diminue l'altitude de 1000 pieds et prends mes jumelles pour mieux examiner l'animal - c'est définitivement bien un mammouth… Rencontrons d'autres collines vertes. La température extérieure indique 74 degrés Fahrenheit (23.3 °C). Nous poursuivons la route en avant. Les instruments de navigation paraissent maintenant normaux. Je suis perplexe devant leur bon fonctionnement. Je tente de contacter la base. La radio ne fonctionne pas. Le niveau du paysage est plus haut que la normale, si je puis m'exprimer ainsi. Droit devant, percevons ce qui ressemble à une citée. C'est impossible ! L'avion semble léger et flotter curieusement. Les commandes refusent de répondre. Mon Dieu, à bâbord et à tribord, d'étranges types d'appareil, ils se rapprochent rapidement autour de nous ! Ils ont la forme de disque et sont resplendissants. Ils sont suffisamment près, maintenant je peux voir leur insigne. C'est un type de swastika. C'est incroyable ! Où sommes-nous ? Que s'est-il passé ? Je tire à nouveau sur les commandes. Elles ne répondent pas. Nous sommes pris dans une sorte d'étau invisible. Notre radio grésille et une voix anglaise avec un accent nordique ou allemand, apparaît. Le message est : "Bienvenue dans notre domaine amiral. Nous allons vous poser dans exactement sept minutes. Relaxez-vous amiral, vous êtes en mains sûres". Je note que nos moteurs se sont arrêtés. Notre appareil est sous l'emprise d'une étrange force et vire maintenant tout seul… La procédure de descente est amorcée et l'avion vibre comme s'il était sur un monte-charge invisible… Nous nous posons avec seulement une petite secousse. J'ajoute en toute hâte, une dernière note dans mon carnet de vol. Plusieurs hommes s'approchent de notre avion. Ils sont grands avec des cheveux blonds. A quelques distances derrière, une énorme citée miroite avec les nuances de l'arc-en-ciel. Je ne sais pas du tout ce qui va se passer maintenant, mais je ne vois aucune arme sur ceux qui s'approchent de nous. J'entends une voix me commandant d'ouvrir la porte. J'exécute". Fin du carnet de vol.


Ici s'achève le carnet de vol de Richard Byrd. Pourtant, la suite de son histoire continue dans son journal personnel et Byrd l'écrit de mémoire, car il ne l’a pas consigné par écrit, à l'époque. Mais, comme l'explique Alec Maclellan, les choses se "gâtent" par la suite. En effet, la suite du récit rend perplexe de nombreuses personnes, même les plus fidèles au thème de la Terre Creuse. Selon eux, son contenu sent le souffre, au point de douter aujourd'hui de l'authenticité des notes, du moins de la partie en question. En effet, cette histoire de machines ayant la forme d'un disque sur lesquels figurait le symbole du swastika (plutôt connu sous le nom de croix gammée) a laissé plus d'une personne assez perplexe. Comme vous le verrez, le fait que les intra-terrestres utilisèrent certains mots allemand, ne fit qu'augmenter l'extrême suspicion autour de cette affaire !

Afin de dissiper tout malentendu, nous souhaitons préciser et vous rappeler que le swastika est un symbole antique très sacré. En sanscrit "Su-Asti" veut dire "bien-être" (Su = bien, équivalent du Greque "Eu" et Asti = être, équivalent du Greque "Estô"). Swastika veut dire "ce qui est bien" (le ka n'est qu'un suffixe). Chez les Indiens Hopi, il représente le symbole de leurs migrations sur le continent américain et chez le reste des Amérindiens, il est un signe de fraternité. A l'origine, ce symbole n'a absolument rien à voir avec l'Allemagne Nazi. Hitler s'est emparé du swastika, car il était féru de mysticisme, de symbolisme et de mythologie. De toute évidence, il s'intéressait de près à la civilisation intra-terrestre et à ce sigle qui, sans nul doute, n'ont absolument rien à voir avec les actes d'extrême barbarie dont firent preuve les Nazis pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Lors d'un de ses voyages au Tibet, les moines tibétains, n’ont-ils pas prévenu Hitler que s’il utilisait le swastika de façon négative et destructive, il se retournerait contre lui ? Les quatre branches du swastika représentent également les quatre différentes positions de la Grande Ourse dans son mouvement de révolution autour de l'axe polaire. Dans de nombreuses traditions, il représente aussi la roue du temps. C'est acquis aujourd'hui, le swastika est un symbole millénaire, bien plus ancien que la croix chrétienne et sans aucun doute le symbole utilisé par pratiquement toutes les grandes civilisations de l'antiquité. En effet, les swastika et sauvastika (swastika inversée) sont présents sur l'ensemble du continent américain, au Tibet, en Sibérie, en Afrique, au Portugal, en Grèce, en Phénicie (Asie antérieure), en Corée, en Italie, en Nouvelle-Zélande, en Chine, au Japon, en Inde, dans tous les pays Celtiques d'Europe et même en Israël, à Jérusalem, où on a découvert des lampes d'argile ornées de ce symbole… Mais, revenons plutôt à la suite du récit et laissons R. Byrd s'exprimer dans son journal personnel :

 

Dessin de Franc Lloyd Wright 1923 - "Alice Millard House".

"A partir de maintenant, j'écris ici tous les événements qui survinrent, de mémoire. Cela défie l'imagination et se confinerait à la folie si cela ne m'était pas vraiment arrivé. L'opérateur radio et moi nous approchons de l'appareil et sommes reçus de la plus cordiale manière. Nous montons alors sur une petite plate-forme mobile de transport sans roues. Elle nous amène avec grande rapidité vers la ville scintillante. Comme nous approchons, la ville semble être construite en cristal. Bientôt, nous arrivons vers un grand bâtiment qui est d'un type que je n'ai jamais vu auparavant. Il paraît être tiré directement des croquis de Franc Lloyd Wright ou peut-être mieux encore d'un film de Buck Rogers. On nous offre un certain type de breuvage tiède qui avait un goût qui ne ressemble à rien de connu. Il est délicieux. Au bout de dix minutes, deux de nos merveilleux hôtes viennent nous rejoindre et annoncent que je dois les accompagner. Je n'ai pas d'autres choix que de m'exécuter. Je quitte mon opérateur radio. Nous marchons sur une courte distance et pénétrons dans ce qui semblait être un ascenseur. Nous descendons pendant quelque temps, la machine s'arrête et la porte de l' ascenseur glisse silencieusement vers le haut. Puis nous suivons vers le bas, un long couloir qui est éclairé par une lumière rose qui semble émaner des murs. Un des êtres nous fait signe de nous arrêter devant une grande porte. Sur la porte se trouve une inscription que je n'arrive pas à lire. La grande porte glisse en s'ouvrant sans bruit et on me fait signe d'entrer. Un de mes hôtes parle. "N'ayez aucune crainte, Amiral, vous allez avoir une audience avec le Maître...". Je marche à l'intérieur et mes yeux contemplent la belle coloration qui semble remplir la pièce. Alors je commence à voir les alentours. Ce qu'accueillent mes yeux est le plus beau spectacle de mon existence. Ceci est en fait trop beau et merveilleux à décrire. C'est exquis et délicat. Honnêtement, je ne pense pas qu'il existe un terme humain qui puisse le décrire dans tous ses détails. Mes pensées sont interrompues d'une façon cordiale par une voix riche tiède de qualité mélodieuse : "Je vous souhaite la bienvenue en notre domaine, Amiral". Je vois un homme avec des traits délicats et avec la marque des années sur son visage. Il est assis près d'une longue table. Il m'invite à m'asseoir sur une des chaises. Dès que je me suis assis, il rassemble le bout de ses doigts et sourit. Il parle moelleusement et me transmet ce qui suit : "Nous vous avons permis, Amiral, d'entrer ici parce que vous êtes de caractère noble et connu dans le Monde de la Surface". Le Monde de la Surface, j'en eus à moitié le souffle coupé ! "Oui" fut la réponse du Maître en souriant : "Vous êtes dans le domaine des Arianni, le Monde Intérieur de la Terre. Nous ne retarderons pas longtemps votre mission, et vous serez escortés prudemment vers la surface et au-delà d'une certaine distance. Mais maintenant, Amiral, je vais vous dire pourquoi vous avez été convoqué ici. "Notre intérêt commença avec raison, juste après les explosions atomiques d'Hiroshima et Nagasaki, au Japon. A cette alarmante époque, nous avons envoyé nos Flügelräder (roues ailées en allemand) à la surface pour enquêter sur ce que votre race avait fait. Ceci est, bien sûr, de l'histoire ancienne maintenant, mon cher Amiral, mais je dois poursuivre. Vous voyez, nous n'avons jamais interféré auparavant dans des guerres et barbaries de votre race, mais, maintenant nous le devons, car vous avez appris à manipuler avec un certain pouvoir, qui ne revient pas aux humains, à savoir : l'énergie atomique ! Nos émissaires ont déjà livré des messages aux puissances de votre monde et, cependant, elles n'en tiennent pas compte. Maintenant, vous avez été choisi afin d'attester ici que notre monde existe. Vous voyez, Amiral, notre culture et notre science sont en avance de plusieurs milliers d'années sur celles de votre race". Je l'interrompis : "Mais qu'ai-je à voir avec tout ceci, Monsieur !" Les yeux du Maître semblèrent me pénétrer profondément et après m'avoir analysé pendant un moment il répondit: "Votre race a maintenant atteint le point de non retour, car il y en a certains parmi vous qui pourraient détruire votre propre monde plutôt que de vouloir abandonner leur prétendu pouvoir." J'acquiesçais et le Maître continua: "En 1945 et par la suite, nous avons essayé de contacter votre race, mais nos efforts n'ont rencontré qu'hostilité et nos vaisseaux furent mitraillés. Oui, et même poursuivis avec malice et animosité par vos avions de combat. Aussi, maintenant, je vous le dis à vous mon fils, il y a un grand orage qui se concentre sur votre monde, une fureur noire qui subsistera pour beaucoup d'années. Il n'y aura aucune possibilité de réponse de la part de vos armées, il n'y aura aucune protection de la part de votre science. Cette fureur fera rage jusqu'à ce que chaque fleur de votre culture soit piétinée et que toutes choses humaines soient plongées dans un vaste chaos. Votre récente guerre n'était seulement qu'un prélude de ce que doit encore advenir à votre race. Nous ici, le voyons plus clairement à chaque heure. Pensez-vous que je me trompe ?" "Pas du tout" répondis-je. "Il est déjà arrivé autrefois, que ces sombres périodes viennent et subsistent pendant plus de cinq cent années. Oui, mon fils !" reprit le Maître : "Les périodes sombres qui viendront maintenant pour votre race couvriront la Terre comme un voile, mais je crois qu'une certaine partie de votre peuple traversera cet orage au-delà de ce que je ne peux exprimer. Nous voyons dans un avenir très loin, un nouveau monde renaissant des ruines de votre race, cherchant ses trésors perdus et légendaires et qui seront ici, mon fils, grâce à notre sauvegarde. Quand ce temps arrivera, nous viendrons à nouveau aider votre culture et votre race à revivre. Peut-être, alors, vous aurez appris la futilité de la guerre et de ses conflits et après ce temps, certains points de la culture et la science de votre race réapparaîtront de nouveau. Vous, mon fils, devez retrouver le Monde de la Surface pour lui confier ce message !"

Illustration de Hubert Rogers - 1947.

Avec ces derniers mots notre réunion sembla arriver à son terme. Je restais un moment comme dans un rêve, mais, une fois de plus, je savais que tout cela était la réalité et pour une raison étrange, je me prosternais légèrement, soit par respect ou soit par humilité, je ne saurai le dire. Soudainement, je pris conscience que les deux hôtes magnifiques qui m'avaient amené ici, se situaient encore à mes côtés. "Par ici, Amiral," mentionna l'un d'entre eux. Je me retournais une fois de plus avant de partir et regardais en arrière vers le Maître. Un sourire doux était gravé sur son visage ancien et délicat. "Adieu, mon fils !" Il parlait et avait le geste exquis et svelte qui donne une impression de paix. A cet instant notre réunion fut véritablement terminée. Rapidement, nous sommes retournés jusqu'à la grande porte de la chambre du Maître et une fois de plus nous primes l'ascenseur. La porte glissa silencieusement vers le bas et nous fumes immédiatement remontés. Un de mes hôtes dit encore : "Nous devons maintenant faire vite, Amiral, car le Maître ne voudrait pas vous retarder plus longtemps dans votre emploi du temps et vous devez retourner porter son message à votre peuple." Je ne dis rien, tout cela était tellement incroyable et une fois de plus, mes pensées furent interrompues quand nous nous sommes arrêtés. J'entrais dans la pièce et retrouvais mon opérateur-radio. Il avait une expression anxieuse sur son visage. Comme j'approchais, je lui dis : "Tout est OK, Howie, tout est OK". Les deux êtres nous dirigèrent vers le véhicule qui nous attendait, nous y sommes montés et nous nous retrouvâmes bientôt à bord de notre avion. Les moteurs tournaient au ralenti et nous nous embarquâmes aussitôt. La situation semblait relever un certain caractère d'urgence. Dès que la porte de la cale fut fermée, l'avion fut immédiatement soulevé par cette force invisible jusqu'à ce que nous atteignîmes une altitude de 2700 pieds. Deux appareils nous escortèrent sur une certaine distance, nous faisant glisser en nous orientant sur notre chemin de retour. Je dois déclarer ici, que notre indicateur de vitesse n'enregistrait aucune information, bien que nous nous déplacions à une allure très rapide. Vint alors un message radio. "Nous vous quittons maintenant, Amiral, vos appareils de contrôle sont libérés. Auf Wiedersehen !" (au revoir en allemand) Nous voyons encore un moment les Flügelräder disparaître dans le ciel bleu pâle. L'avion soudainement plonge comme s'il était pris dans un étroit trou d'air pendant un moment. Nous réussissons rapidement à le contrôler. Nous ne parlons pas pendant un certain temps, chaque homme entretient ses pensées. Nous retrouvons à nouveau de vastes superficies de glace et de neige et sommes approximativement à 27 minutes de camp de base. Nous les appelons, ils répondent. Nous rapportons que toutes les conditions sont normales... normales. Le camp de base exprime son soulagement pour le rétablissement du contact. Nous atterrissons doucement au camp de base. J'ai une mission... "

La suite des aventures de l'amiral Byrd peut se lire dans son journal personnel, l'événement est daté du 11 mars 1947 : "Je viens juste d'assister à une réunion avec le haut personnel au Pentagone. J'ai fait le compte rendu complet de ma découverte et transmis le message du Maître. Tout a été dûment enregistré. Le Président a été avisé. Je suis maintenant retenu depuis plusieurs heures. Six heures trente-neuf minutes pour être exact. J'ai été intensément interrogé par des forces hostiles et une équipe médicale. Cela a été un véritable supplice. Je suis placé sous le contrôle strict de l'"international security provisions of the United States of America". Il m'a été ordonné de garder le silence et de ne parler à quiconque de ce que j'ai vu. Incroyable ! Il m'a été rappelé que je suis un militaire et que je dois obéir aux ordres".

Carte de l'Antarctique montrant les différents vols de Richard Byrd, entre 1955 et 1956.

En 1955, il fut donné l'ordre à Byrd de "poursuivre son relevé topographique" au pôle Sud. Avant de partir pour l'Antarctique, en novembre 1955, Richard Byrd tenu par le secret militaire, dit tout de même à la presse : " C'est la plus importante expédition de l'histoire mondiale…". Le 5 février 1956, de nombreux journaux ont relaté le communiqué fait quelques jours auparavant de la base de Little America : "Le 13 janvier, des membres d'une expédition américaine ont entrepris un vol de 2700 miles (4320 km), de leur base de Mc Curdo Sound, qui se trouve à 400 miles (640 km) à l'ouest du pôle Sud. Ils ont pénétré dans un territoire étendu de 2300 miles (3680 km) au-delà du pôle". Comme le fait si bien remarquer Maclellan dans son " The Hollow Earth Enigma ", un rapide regard sur une carte de l'Antarctique permet tout de suite de relever l'énormité du communiqué. En effet, il est totalement impossible de traverser une distance de 2300 miles (3680 km), dans n'importe quelle direction que ce soit, sans se retrouver les pieds dans la mer, à moins de rentrer dans la Terre ! A son retour du pôle Sud, le 13 mars, Byrd ne pouvant parler librement, fit le communiqué suivant à la presse : "L'expédition actuelle a ouvert de nouveaux territoires, ce continent merveilleux dans le ciel, le pays du secret éternel".

Quelques semaines avant de mourir, Richard Byrd a écrit les lignes suivantes dans son journal personnel, daté du 24 décembre 1956 : "Ces dernières années depuis 1947, n'ont pas été agréables. J'écris maintenant pour la dernière fois dans ce singulier journal. Pour le clôturer, je dois indiquer que durant toutes ces années j'ai fidèlement tenu cette affaire en secret, comme cela me l'a été ordonné. Ceci à l'encontre totale de mes valeurs morales. Maintenant, je sens venir sur moi la longue nuit, mais ce secret ne mourra pas avec moi, la vérité triomphera comme toujours. C'est le seul espoir pour toute l'humanité. Je l'ai vu et cela a stimulé et libéré mon esprit. J'ai fait mon devoir envers l'ensemble de la monstrueuse industrie militaire. La longue nuit de l'Arctique prend fin maintenant, la lueur du soleil de la vérité brillera une nouvelle fois et ceux qui inspirent les ténèbres tomberont dans leur envol. Ceux, pour qui j'ai vu le pays derrière les pôles, le centre du grand inconnu". Admiral Richard E. Byrd. United States Navy.

Richard Byrd décéda le 11 mars 1957 à Boston. Les autorités lui rendirent un tel hommage qu'il fut définitivement élevé au rang de héros national. Richard Byrd fut enterré au cimetière d'Arlington avec tous les honneurs militaires.

Ici s'achève le compte rendu des découvertes et événements historiques concernant le thème de la Terre Creuse et des régions polaires.

Chers lecteurs, merci à vous d'avoir lu ces lignes jusqu'ici. Cela prouve que vous portez un certain intérêt à cette énigme. Nous espérons que les informations et documents qui vont suivre satisferont votre patience et votre curiosité. La grande majorité d'entre eux émanent des livres cités dans la bibliographie, à la fin de ce dossier. D'autres sont tirés de revues et dossiers concernant l'Arctique et l'Antarctique. D'autres encore, proviennent des satellites tournant autour du globe (photographies disponibles sur de nombreux sites sur le net). La source des documents utilisés sera toujours indiquée. Certains d'entre eux sont très difficiles à obtenir pour les raisons que vous imaginez. Le thème de la Terre Creuse est un thème très controversé mais pourtant toujours d'actualité. Néanmoins, nous pensons que les autorités révèleront, petit à petit, la vérité car le Monde change et les Hommes évoluent. Comme Abraham Lincoln l’a dit : " On peut tromper tout le monde pendant un certain temps et certains pour toujours, mais on ne peut pas tromper tout le monde éternellement " (in Yellow Book N° 6).

Cette histoire est-elle une VÉRITABLE FUMISTERIE ou bien, comme le pensent beaucoup d'autres, le " WORLD’S TOP SECRET " ? A vous seul de juger !!!…

Au moins, vous ne pourrez pas dire que vous n'étiez pas au courant.

Photographie à la verticale du pôle Nord, réalisée par le satellite ESSA-3 en 1967.

Les années soixante-dix relanceront le thème de la Terre Creuse. Tout d'abord par la diffusion de plusieurs photographies du pôle Nord prises par des satellites météorologiques. Le cliché joint a été pris officiellement le 6 janvier 1967 par le satellite de l' US Environmental Science Service Administration, ESSA-3. Cette remarquable photographie est une photo dite "composite", c'est-à-dire un montage composé de plusieurs photos pour n'en faire qu'une seule. Généralement, les satellites n'étant qu'à quelques centaines de kilomètres d'altitude au-dessus de la planète, ils ne peuvent pas photographier la Terre dans son ensemble, d'où ce procédé photographique qui prend habituellement plusieurs jours pour obtenir une telle image. Le satellite ESSA-3 a pris en tout, plus d'un million et demi de clichés. Sur cette photographie nous voyons très bien l'ensemble des nuages autour du pôle, aspirés progressivement dans l'énorme trou qui devrait faire 1400 miles de diamètre, selon les spécialistes. Cet élément significatif confirme bien l'idée d'une Terre bombée progressivement vers l'intérieur de la Terre, au pôle Arctique.

La photographie suivante est dans le même esprit et provient du satellite ESSA-7. Elle est officiellement la toute première photographie publiée, montrant le trou du pôle Nord (publiée avant celle de l'ESSA-3). Elle daterait du 23 novembre 1968. Vous remarquerez que nous émétions des réserves quant aux dates communiquées des clichés. En effet, le 6 janvier et le 23 novembre sont des dates où les régions du cercle polaire se trouvent dans l'obscurité. Ce n'est pas le cas de ces deux photographies.


Photographies à la verticale du pôle Nord, réalisées par le satellite ESSA-7 en 1968.

L'authenticité de ces deux images n'est pas à remettre en cause, car elle a été scrupuleusement vérifiée et l' US Environmental Science Service Administration n'a pas essayé de discréditer son authenticité. Par contre, il a été précisé que parmi les 39953 clichés de l'ESSA-7, celui-ci serait le seul à montrer cette "anomalie". Cette photographie est très intéressante car, cette fois-ci, il n'y a aucun nuage aux alentours du pôle Nord. A la stupéfaction générale, les contours de l'ouverture sont très nets. La photo de l'ESSA-7 a été publiée la première fois en juin 1970 dans le magasine américain " Flying Saucers " et a fait le tour du monde. En toute franchise, et malgré sa forte popularité auprès des spécialistes de la Terre Creuse, ce cliché me pose un problème. Les contours du trou sont trop nets à mon goût et ne montrent pas de courbure du sol vers l'intérieur de la Terre comme cela doit être le cas au pôle Nord. L'autre cliché qui l'accompagne, est également tiré de l'ESSA-7, mais c'est une image traditionnelle du pôle Nord, avec des nuages au-dessus.

Série de photographies du pôle Nord, provenant du satellite ATS 3 (1973).
 

Cette superbe série de photographies provient du satellite de la NASA, l' ATS 3. En 1977, la NASA aurait ordonné la destruction de 4500 clichés pris par ce satellite, prétendant que ces images n'avaient "aucune valeur météorologique". Sur ces clichés, faisant sans doute partie des mille photos sauvées de la destruction, on voit très bien différentes dépressions atmosphériques prises sur plusieurs mois au-dessus du pôle Nord. Comme pour l'image de l'ESSA-3, des masses d'air et des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture du pôle. Cette fois-ci, on a l'impression de voir une extension et contraction des nuages au-dessus du trou béant. Dans le lot, on voit très bien que les clichés du côté droit ont été pris en période de nuit polaire. Par contre, comme pour les images de l'ESSA-3 et de l'ESSA-7, les dates sont à nouveau incohérentes. En effet, si on zoome sur les petites étiquettes sous chaque cliché, on se rend compte que les photographies du côté gauche dateraient de janvier à mars et que celles du côté droit, de mai à juin, ce qui est totalement impossible... Il y a donc définitivement un problème sur les dates.

Ce sont à notre connaissance, les seules photographies disponibles, montrant véritablement une ouverture polaire (elles sont toutes disponibles sur le net, sur différents sites américains). Il existe pourtant d'autres clichés comme ceux tirés des missions d'Apollo 11, 16 et 17. Nous avons eu en main ces photographies, mais nous estimons qu'elles ne prouvent rien. Nous aurions pu les ajouter à ce dossier, mais à part montrer de vagues dépressions atmosphériques dans un coin du globe, elles n'apportent rien de probant.

Qu'en est-il du pôle Sud ? A part le récit de Jansen, quelques indices rapportés par des explorateurs et les explorations du malheureux Byrd, nous n'avons aucun cliché d'époque du pôle Sud. Nous insistons bien sur le mot "d'époque" car bien entendu, aujourd'hui, nous disposons de superbes images de l'Arctique et de l'Antarctique, mais, selon de nombreux spécialistes, elles seraient toutes retouchées.

L'Arctique d'après le satellite Clementine.
 

L'Antarctique photographiée par le satellite RADARSAT-1 en octobre 1997. En rouge : les contours de la banquise de Ross. En jaune : les contours de l'ouverture selon les images d'ERS (voir ci-dessous).
 

Ci-joint, deux très beaux clichés récents, pris par les satellites Clementine et RADARSAT-1. Bien entendu, ces deux spécimens sont en couleur et "à peine informatisée", c'est plus beau que nature !
Nous en revenons tout de même à notre première question, et le pôle Sud ? La question resta en suspens pendant de nombreuses années. L'absence de photographie empêcha toute étude réelle sur une cavité qui existerait au pôle Sud. A part de vagues indices nous laissant penser que la cavité du Sud serait moins grande que celle du Nord, le mystère resta entier pendant très longtemps…

Pourtant, en juin 1992, le magazine français CIEL ET ESPACE, consacra un dossier complet sur "Le vrai visage de la Terre". En effet, le dossier expliquait : "De vastes régions du globe sont encore largement inexplorées, en particulier dans l'Antarctique. Surprise : le Groenland et le continent blanc lui-même ont révélé au radar du satellite ERS de grandes différences de relief par rapport à la cartographie traditionnelle. Sur ces images, le relief de la Terre antarctique est reconstitué d'après les données fournies par le satellite européen. Différences d'altitude découvertes par ERS : plus de 500 mètres !". Plus loin, on pouvait lire : "ERS a mis en évidence d'importantes inexactitudes dans les actuelles cartes du relief du continent antarctique…".

A - L'Antarctique vue de face selon les clichés établis par le satellite ERS en 1992. La banquise de Ross est inexistante et une monumentale dépression perfore le continent blanc.
 

B - L’ Antarctique vue de profil selon les clichés établis par le satellite ERS-1. Le radar digital élevation model (DEM) se termine à 81.5 degrés de latitude sud. Au-delà se trouve sans doute la véritable ouverture.
 

C - L' Antarctique vue de dos selon les clichés établis par le satellite ERS.
 

Voici les trois images du continent Antarctique‚ rectifiées par le satellite ERS. Comme vous pouvez le constater‚ un trou béant‚ à la limite effrayant‚ perfore le continent blanc. Ce qui est totalement étonnant c’est à la fois sa taille (1/3 et demi par rapport au continent) et son emplacement. Nous avons comparé ces images en trois D avec une carte traditionnelle. La dépression débuterait à l’emplacement de ce qui est habituellement nommé la banquise de Ross‚ précisément devant la mer de Ross. De toute évidence‚ en vue des images de l’ ERS‚ le gigantisme de la dépression dépasse de loin cette simple "banquise". L’affaissement englobe pratiquement la totalité du quatre-vingtième parallèle de l’hémisphère Sud. Vérifiez et comparez‚ vous-même‚ sur une carte.

 Du coup‚ les chaînes montagneuses suivantes : Royal Society‚ Worcester‚ Britannia‚ Churchill‚ Queen Elisabeth‚ Queen Alexandra‚ Commonwealth‚ Queen Maud‚ et celle du Wisconsin‚ semblent acculées contre le Queen Maud Land et reculent ainsi de près de 1400 kilomètres ! Vérifiez et comparez par vous-même. Ce qui est également étrange sur les images de l’ ERS‚ c’est effectivement‚ comme l’a souligné le magazine français‚ le relief de l’Antarctique. L’ensemble du continent est sévèrement abrupt. Il y va de même pour la cavité‚ surtout sur son côté nord (les fameuses chaînes montagneuses). Nous ne savons pas du tout s’il faut prendre les images telles quelles‚ car n’oublions pas qu’elles ont été traitées informatiquement. On a l’impression de voir une image hyper condensée de l’Antarctique.


En janvier 2006‚ le scientifique Gerry Zeitlin‚ à qui nous devons le magnifique dossier sur l’ouvrage "Le Secret des Étoiles Sombres" (voir lien sur page d’accueil)‚ nous a contacté pour nous faire connaître son avis sur cette étrange cavité. Il est important pour nous de vous le transmettre : "Les images produites par l’ERS-1 présentent les reliefs de la plaque de glace de l’ Antarctique jusqu’à -81.5 degrés de latitude sud. La présence de ce trou abrupte résulterait simplement de la limite des données exécutées par l’ERS-1".


Nous ne pouvons que constater cette évidence. Nous relèverons toutefois que le pôle est finalement une fois encore subtilement annihilé. Pourquoi ? Parce que selon toute logique‚ l’ouverture sud se trouverait un peu plus loin au-delà. La cohérence voudrait également que la terre se courbe progressivement vers l’intérieur dans ces parages.

 

 Source : http://www.antonparks.com/ 

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