L’horreur du 35° parallèle
Et nous pourrions aller ainsi au fil des centaines d’exemples    de disparitions toujours énigmatiques et insolubles.
 Sur ce sujet, l’affaire du 35° parallèle est toujours d’actualité,    hélas. Une brève chronologie : déjà en 1872, la    « Dei Gratia », navire anglais, croise le brigantin la « Marie    Céleste ». Ce dernier vogue toutes voiles déployées…    mais il est entièrement vide de tout occupant, et ce depuis peu, car    des fourneaux de la cuisine de bord sont encore chauds et des tasses de thé    sont encore fumantes. Rien, plus rien des douze passagers et membres d’équipages…sauf    le chat du cuisinier !
 Ainsi, sera inauguré l’interminable liste des disparitions dans    les alentours du 35° parallèle…Une horreur !
L’hécatombe de juillet 1969
Ce mois de juillet 1969 s’illustrera par une succession de découvertes    maritimes toutes plus énigmatiques les unes que les autres.
 4 juillet… le « Cotopaxi » est découvert vide navigant    en gouvernail automatique. Même jour, le « Red Sun », le «    Calliana » et le « San Pedro » seront trouvés sans    occupants. Ils ne présentent aucune avarie et la météo    est idéale…On ne retrouvera aucun débris, aucun message,    pas de corps. Les embarcations de secours et les gilets de sauvetage sont en    place.
 6 juillet…le « Vagabond » de William Wallin est vide. La «    Rosa » vide… le « Nelson » vide de 14 membres d’équipage…    trois navires de pêche avec leurs filets dérivants, vides tous    les trois…
 8, 12 et 15 juillet, 16 embarcations découvertes dérivantes
 
Ainsi le mois de juillet    1969 se terminera avec plus de 140 découvertes de navires vides et dérivants…    Pas un seul rescapé !
 Tout cela se passe au large des Açores, à 35° de latitude    Nord !
Le capitaine MORHOUSE de la DEI GRATIA
Le long de la planisphère
Ce bilan est catastrophique et énigmatique pour une petite partie maritime    du 35° parallèle. Mais ce dernier se poursuit aussi sur les terres.    Impossible de tout relater ici, nous nous contenterons d’une brève    et inquiétante énumération : séismes, cataclysmes    atmosphériques et autres catastrophes dites « naturelles ».    On serait tenté de sourire à ce mot, incongru ici, s ‘il    n’y avait à la clé des milliers de morts.
 Les Açores, le Japon, la Martinique, les Calabres, San Francisco, Lisbonne,    Naples, Smyrne, les îles Ioniennes, Skopje, Agadir, Orléans ville,    pour ne citer que ces seuls grands lieux où se déroulèrent    des raz de marées d’apocalypse (le Pakistan Oriental en fera les    frais). De plus chaque année on enregistre des centaines de disparitions    inexpliquées sur cette ligne du 35° parallèle.
Les étranges meurtres du 35°
Tuer est encore faire disparaître ou supprimer, ce qui dans l’absolu    de l’épouvante revient au même, sauf que l’on connaît    la tragique destinée des victimes et le lieu des crimes.
 - Los Angeles, 35° parallèle… les massacres innombrables, plus    celui de Sharon Tate et de ses amis.
 - La Californie, San Francisco, encore Los Angeles…les points de concertation    d’un nombre incalculable de sectes meurtrières… sur le 35°.
 - Les grands mouvements guerriers secouant la planète naissent souvent    sur les limites de ce parallèle : les frontières sino-indiennes    et soviétiques…le Tibet, Viêt-Nam, Afrique du Nord, plus    près dans le temps, Iran, Irak, Corée… 
 Des milliers de morts et de disparus ! ! !
Source : http://www.france-secret.com/disparitions_art.htm