Rencontre Alien et militaires Américains au Cambodge…Part 2.

par damino - 1975 vues - 0 com.
Alien, ovni, ufologie

Joe a dessiné le vaisseau rond rencontré lors de l'opération militaire près de Tonle Sap, au Cambodge, et il a écrit : Le vaisseau avait une surface polie, très réfléchissante, comme s'il avait été recouvert de miroirs.

De forme sphérique il faisait peut-être dans les 15 mètres de diamètre. Le symbole sur la surface semblait rugueux, passé à la sableuse, et il réfléchissait moins. Aucune ouverture apparente ou porte n'était visible jusqu 'au moment précédant le départ.

Cela résultait évidemment de l'extrême précision des joints et de la nature des matériaux. Le blindage n'était pas vraiment apparent mais la surface était résistante aux petites armes à feu. Le vaisseau émettait un bourdonnement de haute fréquence, même quand il était immobile au sol, et autrement il était presque silencieux dans son ascension.

Les pattes semblaient faire un avec le corps mais elles se sont rétractées dans la sphère au moment du décollage. La rencontre et la description de l'objet ont été rapportées directement à des civils qui se sont identifìés comme des représentants de "MAJIC".

On est retournés à la base. Les Thaïlandais n'allaient bien sûr rien dire à personne. Ils n'avaient "rien vu rien entendu" de toute la sortie - ce qui est une réaction typique pour des Thaïlandais. Ils ne voulaient rien avoir à voir avec ça. Mais ils ont quand même été pas mal secoués - comme nous. Ça nous a pris à peu près 3 jours pour retourner à la frontière.

De quoi vous avez parlé sur le chemin du retour ?

D'absolument rien du tout. En retournant on a décidé que personne n'avait rien vu. On n'avait rien entendu. On ne savait rien de tout ça. On est rentrés à la base, et la première chose qu'on a faite ça a été d'aller prendre une douche chaude parce qu'il fallait bien se débarrasser de tous ces poux et tout ça, on se sentait plutôt sacrément cradingues.

Le gars qui avait été mis K.-O. - George - il allait bien ?

À ce moment-là il allait bien. C'était un caporal, et il est allé au baraquement des officiers. Un homme du bureau du prévôt est entré et m'a dit que je devais immédiatement me présenter au bureau du capitaine. J'ai demandé : "Est-ce que j'ai le temps de me rincer ?" et il a répondu : "Tout juste." Il a dit : "Habille-toi et vas-y. Ils veulent te parler tout de suite." Je lui ai demandé de quoi il s'agissait et il a dit : "Je sais pas. Ils m'ont pas dit. Ramène-toi là-bas, c'est tout. C'est un sacré truc !" Il dit que quelque chose les tracassait pas mal.

Je suis entré dans le bureau du capitaine. Là il y avait le capitaine, deux majors, un colonel et des civils. Je sais pas si vous vous êtes déjà trouvé avec quelqu'un de "la Firme" mais ils puaient ça. En général vous vous attendez à ce qu'ils soient en costume de flanelle et socquettes blanches, mais ces types puaient la Firme, tout simplement.

Qu'est-ce que c'est, la Firme ?

Quand vous entendez des gens qui ont quelque chose à voir avec la sûreté parler d'une certaine agence du gouvernement (Central Intelligence Agency, CIA), ils ne disent jamais "la Compagnie". Les bien introduits aiment l'appeler "la Firme". Donc, nous voilà devant, ni plus ni moins, un front de section militaire de la CIA, alors qu'elle est censée ne pas en avoir. En tout cas, il y en avait un. Il y a eu quelques petites fuites à ce sujet il n'y a pas longtemps. Miller (nom d'emprunt) a fréquenté MJ- vous savez, Majestic 12.

MJ-12 ?

Ouais. La seule façon dont on ait entendu Miller en parler c'est MJ-12, ou MJ. On savait qu'il travaillait pour eux mais on n'avait aucune idée de ce que ça pouvait bien être. La seule chose qu'on savait, c'était que tout avion ennemi aperçu devait lui être signalé. Toutes les photographies qu'on prenait devaient lui être remises. Il s'inquiétait tout le temps, sans arrêt, des avions ennemis, des choses inhabituelles qu'on pouvait voir, tout ce qui sort de l'ordinaire.

Il lui arrivait de nous appeler, il nous montrait des photos et il disait : "Qu'est-ce que c'est ça ?" Nous on disait "C'est un destroyer russe. Il a telles et telles pièces d'armement." Il disait : "O.K., c'est ce que je voulais savoir. Merci beaucoup. Ne parlez de ça à personne. Bonne journée."

Miller marchait à sens unique pour l'information : on lui donnait tout ce qu'on savait, et lui, il ne nous disait jamais rien. C'était un homme froid, sans pitié. Je ne pense pas l'avoir jamais vu transpirer. La plupart du temps il portait un costume noir ou un costume en flanelle gris foncé alors que vous êtes en Thaïlande, que c'est en plein la période de l'année où il fait entre 97 et 100 degrés Fahrenheit, 100 a 110 pour 100 d'humidité relative ; si chaud que la chaleur ressemble à du brouillard.

Je pense que je ne l'ai jamais vu transpirer, sauf pour cette histoire. De la sueur froide. Il a fini par enlever sa veste - on ne l'avait jamais vu sans sa veste.

Miller et les autres types nous ont fait nous asseoir et nous ont cuisinés au moins 3 heures et demie ou 4 heures. Moi je cherchais qui ça pouvait bien être qui leur avait dit, parce que quand on était revenus personne n'avait rien dit. C'était donc que quelque chose ou quelqu'un avait mouchardé.

Quelqu'un qui aurait immédiatement couru leur dire ?

Ça faisait pas une heure qu'on était rentrés. On prenait une douche, on se mettait propres et on se reposait un peu avant de les rencontrer parce que ça pouvait parfois durer plusieurs heures. C'était très intéressant. Ils nous ont même séquestrés dans nos quartiers. On nous a dit de n'avoir aucune activité extérieure, pas du tout, et qu'on nous apporterait nos repas. On ne devait pas parler avec le personnel non autorisé. "Autorisé" ça voulait dire eux, ou quelqu'un clairement avec une autorisation du bureau du prévôt.

Après on a passé les 3 semaines ou 3 semaines et demie suivantes à parler à tout un tas de personnes - et certaines, je n'ai pas la plus petite idée de qui elles peuvent bien être. Plusieurs étaient psychologues - ça se voyait rien que par la sorte de questions qu'ils nous posaient, et les voilà qui sortent les taches d'encre. On a continué avec ça pendant 2 semaines, et alors ils se sont mis à employer la narco-hypnose.

Comment ça marche ?

Eh bien, ils vous font asseoir sur une chaise, ils fixent le sphygmomanomètre, et l'enregistrement pour la pression sanguine. Ils vous font relaxer profondément - et parfois pour ça ils utilisent de la musique douce -, et ils vous font une piqûre de ce qui s'appelle "médicament hypnotique". Ça pouvait être du Séconal, de la scopolamine, des trucs qui vous font diminuer ce qu'ils appellent votre "résistance psychique".

Votre corps devient détendu au maximum et vous perdez toute volonté. Et à ce moment-là, ils vous hypnotisent. C'est une association de médicaments et d'hypnose. La seule chose que je peux dire qui s'est passée pendant ces moments-là, c'est que, d'une façon ou d'une autre, ils ont modifié notre mémoire.

Bon, je ne sais pas si nous avons vu quelque chose d'autre ou s'ils nous ont trafiqué la mémoire et c'est avec ça qu'on se retrouve maintenant, ou si ce qu'on a vu était bien pire que ce qu'on pense avoir vu et que j'ai atténué la chose. Ce que je sais c'est que, maintenant encore, on a tous des cauchemars avec ça et on a des images qui ne sont rien d'autre qu'un incroyable bain de sang.

Quand on a eu fini avec le médical et le psychologique, George a été assigné à une autre unité. On m'a fait venir au bureau du capitaine 6 ou 8 semaines après l'événement, pour identifier un corps qu'ils m'ont dit être celui de George. Bon, moi j'avais vu le gars quelques jours plus tot et là, le corps qu'ils m'ont montré était très, vraiment très décomposé, même pour la jungle où la décomposition est rapide.

Mais vous n'avez pas pu vraiment identifier le corps ?

Je n'ai pas pu identifier George. La chair était liquéfiée.

Ça aurait donc aussi bien pu être quelqu'un d'autre ?

Tout ce que je peux dire c'est que ses tissus semblaient avoir Souffert d'un chambardement extrême, comme si chacune des cellules avait été ouverte - comme on voit ça avec l'herpès. Je pense en tout cas que peu importe ce qui lui est arrivé, ils l'ont transporté pour pouvoir me le montrer et dire "C'est George".

Mais alors, pourquoi est-ce qu'ils vous ont montré un corps que vous ne pouviez pas identifier ?

Je sais pas ! Les gens avec qui on était (MJ-12) étaient très attentifs à ne laisser passer aucune éventualité. Ils n'ont jamais laissé une phrase en suspens, ni un mot. Tout ce que je savais c'est qu'il était mort. On m'avait appelé pour identifier le corps et signer les papiers. Le seul moyen pour moi de l'identifier c'était ses insignes de combat.

L'habitude, durant le combat, à cause du caractère spécial de notre unité, c'est que nos insignes nous étaient retirés par un officier supérieur ; on nous les rendait quand on retournait à la base. On portait ce qu'on appelait "T8407-?-T1013", qui était en fait un "bon de sortie de prison". C'était une carte en carton avec deux côtés, et sur un des côtés il y avait le logo du ministère disant que le porteur était autorisé à porter des armes bizarres ou pas courantes, qu'il soit ou non en uniforme, et qu'il ne devait en aucun cas être consigné ou détenu, sous aucun motif.

Si on trouve la carte sur un cadavre elle doit être brûlée avec le cadavre et le tout signalé à un numéro de téléphone et à l'armée, aux États-Unis.

C'est tout ce que vous vous rappelez ?

Eh ben, c'est le problème. Si je m'assois avec quelqu'un et qu'on essaie de faire pression sur moi, je m'embrouille. J'ai parlé à 2 ou 3 gars qui étaient la, et pour eux c'est pareil. Lentement mais sûrement les choses émergent, et au fil des ans il y en a de plus en plus qui sont remontées. Ça a pris des années avant que j'aie même simplement envie de parler de tout ça - pas parce que j'avais peur, ou pas parce que la Firme nous avait dit de ne pas en parler sous prétexte que tout ça devait être placé sous sûreté nationale, mais simplement parce que je n'avais absolument pas du tout envie d'en parler.

Est-ce que vous vous rappelez d'autres détails, comme par exemple comment les humanoïdes sont entrés dans le vaisseau ?

Ça faisait comme une partie qui glissait vers le bas ; comme si tout à coup c'était apparu tout seul et ça avait glissé vers le bas.

Est-ce que vous vous rappelez s'il y avait une rampe ?

Ça a glissé vers le bas et ça s'est incliné jusqu'au sol ; il y avait un escalier dessus, qui formait une rampe par laquelle ils sont montés, avec des marches.

Est-ce qu'on aurait dit qu'ils montaient des marches ?

Il y avait des marches parce qu'ils levaient les pieds, c'était pas comme s'ils avaient juste marché sur une rampe. Ils marchaient d'un pas tranquille, assuré, et en peu de temps ils franchissaient une grand distance. Mais le plus gros problème c'est comme je l'ai dit : si on s'assoit et qu'on essaie de retourner dans tous ces détails et que je dois faire un gros effort pour penser à tout ça, je me retrouve presque avec une crise d'anxiété.

En tout cas je sais pas ce qu'ils (MJ-12/CIA) ont bien pu nous faire pour enterrer tout ça mais ça tient plutôt bien. Malgré les années je fais encore de temps en temps des cauchemars là-dessus. Je me réveille couvert de sueur froide, et le temps d'un éclair je me rappelle. Mais c'est frustrant, je sens de la colère parce que, sacré bon sang, je ne sais pas ce qu'ils ont bien pu nous faire.

J'ai découvert que quelques semaines après notre rencontre, il y en a eu au moins 2 autres. Pour une, des G.I. étaient pris et 2 de ces petits hommes (les aliens) sont sortis de la forêt. Un d'eux a lancé un petit objet et le Pathet Lao avec les G.I. a été cloué au sol. Les hommes ont dit que c'était comme une "grenade à noir" au lieu d'une grenade fumigène.

Ça a produit un écran tellement noir qu'ils ont pu s'échapper. Les gars sont revenus, et les autres leur ont aussitôt demandé : "Sacré bon sang, les gars, qu'est-ce qu'ils vous ont fait quand vous avez vu ça ? " Et ils ont dit qu'ils étaient passés par le même truc de rapport que nous.

Qu'est-ce que les gars qui ont vu la bombe lacrymogène ont dit à propos du vaisseau ?

Ils n'ont pas vu de vaisseau. Tout ce qu'ils ont vu c'est les types (les aliens) que nous on a vus - quelques-uns des plus petits.

Ils sont juste apparus là ?

Les hommes ont entendu un bruit dans la jungle et les voilà tout d'un coup avec 2 aliens devant eux, ils regardaient les hommes qui ont pu les voir nettement. Les 2 aliens se sont regardés, je ne sais pas ce qu'ils ont bien pu se dire mais l’un d'eux a attrapé et lancé un petit objet. Les gars ont dit que ça ne devait pas être plus petit qu'une balle de tennis, et ça a fait un bruit sourd, comme un éclatement - pas une explosion mais un éclatement.

C'était comme un gaz noir. C'est sorti comme de la fumée mais c'était tout noir, alors ils se sont regardés et se sont demandé : "Bon Dieu, mais qu'est-ce que c'est que ça ?" et un d'eux a dit : "J'en ai rien à foutre, tirons-nous d'ici !" et ils se sont tirés. Le Pathet Lao était suffisamment loin pour qu'ils ne puissent pas poursuivre les G.I. Ils n'ont jamais rien vu d'autre comme ça, et nous non plus.

Est-ce qu'ils ont examiné leurs vêtements, pour voir s'il y avait des résidus ?

Ils ont fait ça plusieurs fois. Ils nous ont pris nos treillis. Ce que je sais, c'est que jusqu'à ce jour-là j'avais toujours été fasciné par l'idée d'autres vies dans l'univers mais j'en avais jamais vu assez pour me faire réellement croire qu'une telle chose puisse vraiment exister. Mais quoi ou qui que soient ces aliens, pour sûr, ils ne font pas partie de l'actuel peuple de cette Terre."

Source : http://homme-et-espace.over-blog.com/article-25168504.html

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