Témoignage du sergent Karl Wolfe : Des bases sur la Lune...!

par damino - 2805 vues - 0 com.
Alien, ovni, ufologie

Le sergent Karl Wolfe a été dans l’US Air Force de 1964 à 1968, il avait un droit d’accès  ‘’ Crypto’’ de la sécurité, il a travaillé au Tactical Air Command à la base aérienne de Langley en Virginie.

Voici son témoignage :

 

Notre groupe s’occupait de photographies de reconnaissance, il travaillait avec les avions U2, la photographie par satellite espion, bien avant que quiconque sache qu’on avait ca. A ce moment la, personne ne savait qu’on faisait de la photo d’espionnage, de la photo par satellite espion. Et bien sur personne ne savait que notre programme ‘’ U2 ‘’ était opérationnel, ou quelles possibilités avait ce programme.

 En 1965, j’étais technicien photo, avec une formation en électronique, j’étais tout nouvellement installé, et affecté à cet endroit pour faciliter l’escalade de la guerre du Vietnam. On avait des simulateurs, que l’on appelait l’ATRAN, et personne ne pouvait même soupçonner que nous possédions ce genre de matériel.

 Je me trouvais un jour dans un labo couleur, quand le sergent chef Taylor, est venu vers moi, et m’a dit qu’ils avaient un problème d’équipement du premier programme ‘’ Lunar Orbiter ‘’ , au sein duquel ils avaient pour mission de localiser assez précisément les premiers sites d’atterrissage pour la mission lunaire de 1969, pour les astronautes.

 Il voulait savoir si je pouvais aller jeter un œil la bas, il m’a dit, c’est une installation de la NSA, à l’époque je ne savais pas ce qu’était la NSA, j’ai pensé qu’il voulait dire NASA.

 On m’a donc demandé d’aller à cette installation de la base aérienne de Langley ou la NSA faisait arriver les informations issues de ‘’ Lunar Orbiter ‘’ . La 2 officiers m’ont emmené dans un très grand hangar. Au moment ou j’ai pénétré à l’intérieur, il y avait la, des gens d’autres pays, un tas d’étrangers en habits civils, qui avaient avec eux des interprètes, tous avec des badges de la sécurité qui pendaient à leur cou.

 Que faisait tous ces gens ici ? Je ne comprenais tout simplement pas, j’étais vraiment impressionné par tout ça, et tous ces gens étaient extrêmement tranquilles, ; extrémement reservés, et il se dégageait d’eux une atmosphère lugubre et particuliere, ils avaient un comportement très inquiet.

 Les 2 officiers m’ont emmené au laboratoire, j’ai jeté un œil à cet équipement, il y avait un 2e classe également présent dans le labo, j’étais moi même 2e classe à cette époque. Il a mis l’équipement en marche et il l’a essayé devant moi. Il ne faisait pas ce qu’il était censé faire, et j’ai dit, on va devoir sortir ce truc du labo si on veut travailler dessus, on ne peut pas travailler dessus dans cet environnement de chambre noire.

 Par conséquent ils sont sortis de la chambre noire, sauf ce 2e classe et moi même, on attendait que quelqu’un vienne déplacer cette pièce d’équipement. Nous avons commencé par discuter, je lui ai dit : «  Je suis vraiment fasciné par ce processus, comment font ils pour faire venir les images du Lunar Orbiter jusqu’ici dans le laboratoire ?  »

 Il a évoqué tout le processus en décrivant comment les divers radiotélescopes du monde entier étaient reliés, et comment ils télémétraient les données au terrain de Langley. A l’époque je ne savais pas quel était le but réel de cette chambre noire, de cette opération, et de cette installation.

 Puis il m’a montré comment chaque truc marchait, il m’a montré l’équipement qui recevait les informations digitales, ou tout ça était converti en image photographiques, ils faisaient des rouleaux de pellicule de 35 mm à l’époque, qui étaient ensuite assemblés en mosaïques de 18 pouces par 11.

 Il y avait une signature digitale et une échelle des gris sur chaque rouleau de 35 mm, et ces rouleaux provenaient des passages successifs autour de la Lune. Ils prenaient une photographie et la montaient, ils scannaient une partie de la Lune ensuite une autre et encore une autre, et ils obtenaient alors une image plus grande, ensuite il était par conséquent réalisé une épreuve par contact de cette mosaïque, et elle était imprimée.

 On est allé de l’autre coté du labo et il a dit : 

 « On a d’ailleurs découvert une base sur la face cachée de la Lune » !

J’ai dit : de quoi ? Oui on a découvert une base sur la face cachée de la Lune !

 Et c’est à ce moment la que j’ai commencé à avoir peur, et j’étais quelque peu terrifié en pensant en moi-même que si quelqu’un était maintenant rentré dans la pièce , je comprenais qu’on était en danger, qu’on était mal barrés, parce qu’ils n’auraient pas du me donner ces informations la.

 Tout ca me fascinait, mais je savais également qu’il était en train d’enfreindre  des limites qu’il n’aurait pas du enfreindre. Il a ensuite sorti une de ces mosaïques et m’a montré cette base sur la Lune qui avait des formes géométriques, il y avait des tours, il y avait des constructions sphériques, il y avait des très grandes tours et des trucs qui ressemblaient quelque peu à des coupoles radar, mais c’était des structures de taille.

 Je ne lui ai rien dit d’autre, parce que je craignais à nouveau que quelqu’un entre la à un moment ou à un autre, et nous surprenne en train d’avoir cette conversation. J’ai réalisé qu’il me donnait toutes ces informations, parce qu’il n’avait personne d’autre à qui les dire.

 

Visiblement il avait un droit d’accès de haute sécurité, mais il ne pouvait pas faire part de ces informations à qui que ce soit d’autre, et à cette époque la, on ne le faisait pas, quand vous aviez un droit d’accès de sécurité, vous le preniez au sérieux, c’est de cette manière la qu’on était éduqués, et on restait liés par ces conventions.

 Ce type était bouleversé, il était aussi pâle et avait le même comportement que les scientifiques à l’extérieur de la pièce, ils étaient tout simplement aussi angoissé que lui, et ce 2e classe avait besoin de parler de ca avec quelqu’un.

 Une fois les réparations terminées, j’ai classé tout ca à part dans ma tête, mais le truc intéressant c’est que chaque jour en rentrant chez moi, je pensais en moi même : «  je ne peux m’attendre à entendre parler de ca aux informations . »

 Alors j’allumais la télévision et je regardais les infos pour voir s’ils allaient annoncer que nous avions découvert une base sur la face cachée de la Lune, j’étais vraiment naïf vous savez.

 Et bien sur nous voilà 40 ans plus tard, et nous n’avons toujours rien entendu à ce sujet. Je ne suis pas certain de la résolution des ces photographies, mais je sais qu’à partir des photos satellites qu’on faisait à notre installation, on pouvait à ce moment la discerner la plaque minéralogique d’une voiture. Je sais par conséquent de quel niveau de technologie on pouvait disposer, et elle était certainement sur ce ‘’ Lunar Orbiter ‘’.

 Tout ca m’amène toujours à m’interroger pour savoir pourquoi nous obtenons des résolutions basses sur les photographies que nous recevons de Mars et de chacune des ces missions. La résolution des ces photographies est vraiment basse, alors que nous avions la capacité d’avoir de bien plus hautes résolutions depuis le début des années 1960.

 Si je compare ca à ce que je vois maintenant, parce que j’ai effectivement des photographies ou il y a des artefacts qui sont similaires à ce que j’ai vu, ils sont plutôt massifs. Certaines de ces structures ont une taille de 800 mètres au moins. Ce sont par conséquent des structures immenses, et il y a des structures qui sont toutes de taille différente, sur différentes photographies.

 Certaines constructions représentaient des structures très grandes, très fines, je ne sais pas qu’elle taille elles avaient, mais elles devaient être très grandes, elles ressortaient très clairement…

 J’ai essayé de faire le rapprochement dans mon esprit avec des structures qu’on a ici sur Terre, mais elles ne se comparent pas, à quoi que ce soit que l’on peut voir ici du point de vue de l’échelle et de la structure. J’ai essayé de faire le rapprochement avec des structures métalliques, et je n’arrivais pas à voir un aspect métallique, elles ressemblent plutôt à des structures en pierres, mais de la pierre artificielle.

 Certaines constructions semblaient présenter des surfaces extrêmement réfléchissantes. Deux structures m’ont rappelé les cheminées de refroidissement d’une centrale électrique, elle avaient ce genre de forme. Certaines d’entre elles étaient tout simplement grandes et toutes droites avec un dessus plat, d’autres étaient rondes, d’autres avec un dôme, comme une serre.

 J’ai eu un droit d’accès de sécurisé ‘’ Crypto ‘’  car en tant que technicien il fallait que j’aille dans tous les secteurs de l’installation, et j’avais accès à toute l’imagerie issue des U2, et des photos satellite, j’avais accès à tout ce qu’on faisait.

 Par conséquent je voyais des tas de données que les gens de mon grade ne voyaient généralement pas.

Souvenons-nous juste de l’alunissage d’Apollo 11, avec Neil Armstrong qui déclare :

  «  Ils sont-la. Ils sont juste la, au-dessus, et regardez la taille de ces vaisseaux. Il est évident que ca ne leur plait qu’on soit la… Ils ne veulent pas qu’on soit-la !  »

Source : http://homme-et-espace.over-blog.com/article-31321002.html

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